« Le tueur est un soldat du Califat. » Daesh rompt ainsi le silence et revendique l’attentat de Nice, via un communiqué publié par son agence de presse Amacq.
« L’auteur de l’opération […] menée à Nice en France est un soldat de l’État islamique. Il a exécuté l’opération en réponse aux appels lancés pour prendre pour cible les ressortissants des pays de la coalition qui combat l’EI. »
4 hommes proches de Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, l’auteur de la tuerie, ont été arrêtés. Vendredi, l’ex-femme de ce fou d’Allah avait également été arrêtée et interrogée.
La thèse d’un perturbé psychiatrique se propage déjà dans les colonnes de la presse du système, à travers notamment le témoignage du père :
« Il a vécu des moments difficiles, explique-t-il, je l’avais emmené dans une clinique psychiatrique. Il suivait un traitement et le médecin avait dit qu’il souffrait d’une maladie rare. »
En ajoutant que le fils pouvait être parfois « instable, même violent. »
Détraqué, instable, malade mental, tous les qualificatifs seront bons pour décrire l’individu au volant du camion tueur. Afin de maintenir vivace dans les esprits la fable d’un islam, religion de paix et d’amour. Pour que le « Pas d’amalgame » sorte, à nouveau, victorieux de ce nouvel attentat islamique.
Combien faudra-t-il de morts, d’attentats, pour que les écailles tombent des yeux des bien-pensants, bobos « radical-chic », journalistes aux ordres et politiciens scélérats, assujettis à l’idéologie du « vivre-ensemble » ?
Francesco de Villasmundo
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