A l’heure où une commission d’enquête parlementaire se penche, à la vue des différentes auditions de manière partiale afin de blanchir le gouvernement, sur sa gestion de la crise du coronavirus, le professeur infectiologue et microbiologiste Didier Raoult revient sur ce qu’est « le conflit d’intérêt ».  

Mercredi dernier 24 juin, il avait d’ailleurs, devant la présidente de la commission d’enquête, Brigitte Bourguignon, députée LREM, accusé les détracteurs de son traitement à la chloroquine de conflit d’intérêts avec Gilead, le laboratoire pharmaceutique américain qui propose contre le coronavirus le Remdesivir, son médicament expérimental : « Je vous recommande de faire une vraie enquête sur Gilead et le remdesivir. Si vous regardez la structure de Gilead, ça fonctionne avec peu de produits, peu de personnels, mais qui a une influence considérable », a-t-il dénoncé avant d’ajouter :

« Quand j’ai parlé pour la première fois de la chloroquine, j’ai été menacé à plusieurs reprises par celui qui a reçu le plus d’argent de Gilead depuis six ans. »

Et de s’interroger sur le « jeu boursier pour faire monter la valeur de Gilead, car de toute manière, les médicaments, on ne les aurait pas eus ».

Dans cette dernière vidéo il explique le problème du « conflit d’intérêt ».

Francesca de Villasmundo

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

12 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires

Abonnez-vous à CARITAS !

Le numéro 2 de la revue Caritas est enfin disponible en prévente sur MCP !

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette revue : la revue CARITAS !