L’ensauvagement de la France et son corollaire, ce racisme anti-français qui s’exprime toujours davantage, n’est plus une lubie de la droite nationale mais une réalité qui frappe en plein cœur les familles. Le meurtre raciste de Thomas à Crépol en est le dernier terrible témoignage.
La société multi-culturelle et multi-ethnique vire au cauchemar
Les Français commenceraient-ils à se réveiller du rêve idyllique de l’utopique « vivre-ensemble », rêve devenant un réel cauchemar ? Le meurtre raciste de Thomas à Crépol, dans la nuit du 18 au 19 novembre, par l’un des voyous de la bande des « jeunes » Akabli Chaid, Zazane Ilyes, El Moujahid Yasir, Hemaizia Nassir, Maref Kouider, Boukmiri Canel Yanis, Ramdani Faycal et Chorfia Kais, venus en découdre de la banlieue voisine de Romans-sur-Isère, explose en pleine face les discours lénifiants des bien-pensants progressistes sur la « chance » de vivre dans une société multi-culturelle, multi-ethnique, multi-tout.
Les familles des victimes de Crépol ont décidé de ne pas se taire sur le caractère raciste de la violente agression commise par « cette jeunesse déjà barbare, déjà violente, déjà lobotomisée par les logiques de gang, de rivalité, de revanche et de violence, dénonce l’auteur Jonathan Sturel. Une jeunesse qui, lorsqu’on lui refuse l’accès à une salle des fêtes où elle n’a rien à faire, revient avec des couteaux pour faire des morts et des blessés, la bave aux lèvres, la gorge injectée de sang à en devenir veineuse ».
Les familles des victimes de cette meurtrière attaque ont demandé « que le caractère raciste » soit retenu par la justice
Ainsi le maire de divers-droite de Romans-sur-Isère Marie-Hélène Thoraval a déclaré ce mercredi 29 novembre que les familles des victimes de cette meurtrière attaque du bal de village à Crépol ont demandé « que le caractère raciste » soit retenu par la justice. Mme Thoraval a en outre ajouté :
« Les familles demandent deux choses. La première c’est une fermeté sans appel de la justice, et la deuxième chose c’est que le caractère raciste qui a été manifesté par ses attaquants soit pris en compte. ».
Devant l’ampleur de ce drame, l’édile redoute aussi « d’autres drames » ajoutant que tous les mis en cause sont « issus de parents déjà délinquants ». « C’est une culture qui se transmet », a dit estimer le maire, en poste depuis 2014.
Interrogée sur le quartier de la Monnaie, duquel sont issus certains des suspects, Marie-Hélène Thoraval a par ailleurs affirmé que sur les 4500 habitants, « une centaine de jeunes » posaient des problèmes, « avec un noyau dur particulièrement violent ».
Mais madame le maire ne s’arrête pas là dans ses froids constats de la situation de non-droit qui existe en France : ce « noyau dur » tenterait de créer dans la Drôme « une zone de non droit en occupant le territoire ». Une occupation qui se ferait au détriment des 34.000 habitants de la ville qui « aspirent à la tranquillité ». « C’est tout un territoire qui est touché », a souligné l’élue. Avant d’ajouter :
« Il faut arrêter de pratiquer la culture de l’excuse ».
Une « culture de l’excuse » que la justice applique avec avec deux poids deux mesures
Une culture de l’excuse que la justice applique avec avec deux poids deux mesures selon que vous soyez voyou des banlieues ou jeune français nationaliste. Ainsi alors que les suspects du meurtre raciste de Thomas sont connus des services de police et ont un casier judiciaire pour vols, pour recel de vol, pour « port d’arme blanche ou incapacitante de catégorie D sans motif légitime » soit un « poignard » ou un « couteau-poignard » assorti d’une interdiction de détenir ou porter une arme pendant deux ans, pour une infraction « à la législation sur les stupéfiants », deux d’entre eux ayant en outre une peine « d’emprisonnement avec sursis pour des faits d’outrage et menace à l’encontre de dépositaires de l’autorité publique et pour violences aggravées », ils n’en étaient pas moins en liberté, grâce au laxisme des juges.
Un laxisme qui ne s’appliquera pas aux jeunes Français qui ont manifesté à Romans-sur-Isère samedi dernier après la mort du jeune Thomas. Le juge en a condamné six à des peines de six à dix mois de prison ferme avec mandat de dépôt pour avoir participé à cette une manifestation qualifiée « d’ultradroite ». Jugés en comparution immédiate au tribunal de Valence, ces hommes âgés de 18 à 25 ans ont également été interdits de séjourner dans la Drôme et de détenir une arme pendant cinq ans. Ils ont tous été condamnés pour « participation à un groupement formé en vue de la préparation de violences » ou de « dégradations ». Cinq ont également été condamnés pour « violence » sur policier.
Le meurtre raciste de Thomas à Crépol met à nouveau en exergue la folie immigrationniste, qui dure depuis des décennies, des « élites » politiques françaises, et la démente permissivité d’une justice injuste.
Francesca de Villasmundo
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