Robert F. Kennedy Jr. a récemment lâché une série de bombes au sujet de l’arnaque des vaccins de Bill Gates, censés rapporter des milliards de dollars à l’équipe anti-Covid 19 nommée par Trump en février dernier. Le 4 mai, le président américain a annoncé son démantèlement pour la fin du mois en cours, avant de faire brusquement volte-face 24 heures plus tard.
Cherchez à qui profite le crime… suivez la piste de l’argent, si vous voulez comprendre l’insistance à noircir le tableau et à vacciner la planète entière, a déclaré Kennedy dans une interview du 17 avril dernier. Belle imposture que celle de cette collusion entre Big Pharma, la Fondation Gates et l’agence gouvernementale qui emploie le Dr Anthony Fauci, chef de l’équipe du Covid 19, et qui pourrait recevoir jusqu’à 50 % du produit des ventes des vaccins de Gates.
Le NIH (Institut national de la santé) est l’acteur clé dans le processus décisionnel en matière de vaccination et il touchera des sommes colossales si la société pharmaceutique soutenue par Gates, Moderna Inc., obtient le feu vert.
Bobby Kennedy Jr, un démocrate, est le neveu du Président assassiné en 1963 et le fils de Robert Kennedy Sr, Procureur général et Sénateur, lui aussi assassiné cinq ans plus tard. Avocat de renom et passionné des questions d’environnement et de santé, il est devenu depuis une quinzaine d’années un ardent activiste anti-vaccins.
Le 15 avril dernier, Bobby Kennedy avait déjà fait d’autres révélations troublantes sur la carrière médicale du Dr Anthony Fauci au sein du gouvernement, dénonçant ses agissements douteux allant de la dissimulation à la fraude pure et simple.
Kennedy avait également pris pour cible Dr. Deborah Birx, élève de Fauci et coordinatrice de l’équipe anti-Covid 19, torpillant au passage Bill Gates, les grandes entreprises pharmaceutiques et les médias.
Le 30 avril, c’était au tour du Sénateur Scott Jensen de faire trembler les murs dans une interview au cours de laquelle il évoqua les magouilles du Covid-19, en se prévalant de son expérience de médecin:
“A l’heure actuelle, l’assurance maladie détermine que si un patient est admis à l’hôpital pour un COVID-19, l’établissement hospitalier reçoit 13.000 dollars (trois fois plus que pour un autre malade).Si ce patient COVID-19 est placé sous respirateur, l’hôpital reçoit 39.000 dollars, soit trois fois plus que sans respirateur. C’est une pratique courante : vous essayez toujours d’augmenter l’indice de gravité de la pathologie pour obtenir plus de fonds. Et les hôpitaux sont mieux payés quand ils désignent le “coronavirus » comme cause du décès. C’est donc ce qu’on marque sur les certificats de décès.”
Dr Judy Mikovits, une éminente scientifique américaine et une pionnière dans le domaine de la recherche, qui avait brisé le 21 avril un silence de 30 ans pour démasquer le Dr. Fauci, donna le 4 mai une interview explosive qui peut être visionnée ici à la journaliste Tina Aguayo, sur la plateforme d’AmericasVoice.News. Le compte twitter de la journaliste vient d’être suspendu et si la vidéo de l’émission est pour l’instant encore visible sur YouTube, il vaut mieux en faire immédiatement une sauvegarde car elle sera bientôt censurée.
Dr Mikovits y raconte en détail le cauchemar enduré durant ses longues années de recherche sous le contrôle administratif du Dr. Fauci au sein du NIH, la corruption et la cupidité qui y sont les mots d’ordre: menaces, vaccins contaminés, fraude, dissimulation… rien ne manque à son récit.
Pas même son emprisonnement de 5 ans par les bons soins du Dr Fauci, sur la base d’un faux témoignage, après qu’il lui ait volé ses découvertes scientifiques non pas une, mais deux fois.
Les vaccins tuent, affirme Dr. Mikovits, ou sont à tout le moins responsables de quantité de maux modernes jadis quasi-inexistants, l’autisme, les allergies chroniques, les maladies épidémiques. L’extrême toxicité de leur composition est due aux métaux utilisés comme adjuvants, mais également au fait que les vaccins sont mis au point à partir de cultures de cellules animales (quand elles ne sont pas fœtales).
Les deux dernières minutes de l’interview sont un message adressé au Président Trump :
“Mettez fin aux masques faciaux qui activent les virus et tuent littéralement les gens, en particulier ceux qui ont reçu le vaccin contre la grippe. Nous ne devons pas continuer à respirer notre propre air vicié, les personnes les plus vulnérables peuvent en mourir.Mettez fin au confinement. Licenciez les Dr Anthony Fauci et Deborah Birx.Fermez la FDA [Food and Drug Administration] qui empêche les gens d’avoir accès aux médicaments susceptibles de leur sauver la vie [comme l’hydroxychloroquine].
Mettez fin au programme de vaccination, imposez un moratoire de 5 ans, ne permettez plus qu’aucun autre vaccin ne soit prescrit.Le Covid 19 est un fléau, mais c’est un fléau créé par la corruption, pas par une maladie”.
Comme l’indique cette capture d’écran d’un tweet publié sur la page de Tina Aguayo peu avant qu’elle ne soit censurée, le même Dr Fauci qui s’était opposé à Trump pour l’usage de l’hydroxychloroquine dans le traitement du coronavirus, l’avait adoptée avec enthousiasme en 2013 sans avoir besoin d’aucun test clinique.
Le témoignage du Dr Judy Mikovits est également accessible dans un ouvrage * dont elle est l’auteur, préfacé par Robert Kennedy et paru le 14 avril dernier : “Plague of Corruption : Restoring Faith in the Promise of Science”. [Le fléau de la corruption ou comment rétablir la confiance dans les promesses de la science]
Quelques heures après son interview, Dr. Mikovits se réjouissait dans un tweet du fait que le President l’avait visionnée avec intérêt. La chose lui avait été rapportée. Elle annonçait aussi une grande nouvelle qui devait être annoncée prochainement.
Et en fait, dès le lendemain, semblant prendre acte de ses dénonciations, Trump annonçait le démantèlement de son équipe anti-Covid 19 pour la fin mai, ainsi que la réouverture de l’économie qui, jusqu’en février dernier, avait été son meilleur atout.
Du reste, depuis quelque temps déjà, des doutes l’assaillaient sur le petit jeu malsain joué en coulisse par le Dr Fauci. Il lui en avait même manifesté de l’irritation, notamment le 13 avril dernier en retweetant un appel au renvoi de Fauci.
Or voici qu’en l’espace de 24 heures, un coup de tonnerre est venu trouer cette belle éclaircie : lorsque dans une volte-face inattendue, Trump a déclaré que tous comptes faits, il entendait “conserver indéfiniment” son équipe Covid 19 et, en particulier, les Dr Fauci et Birx. Même CNN en était estomaqué. Pressé de s’expliquer, le président a déclaré qu’en raison de “la popularité de son équipe”, il s’était “rangé à l’avis de ses conseillers”.
Dr. Fauci doit comparaitre le 12 mai pour être examiné par une commission du Sénat américain sur la réponse donnée par l’Administration à la crise du Covid 19. Trump a-t-il voulu esquiver une guerre ouverte avec son expert épidémiologiste pour ne pas mettre en danger ses perspectives de réélection à 6 mois des présidentielles de novembre ? Cela est plus que probable. Saura-t-il mener son embarcation à bon port sans la faire chavirer dans des eaux où pullulent les requins aux dents longues ? C’est à voir.
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