Le Dr Michael Ryan, directeur exécutif du programme OMS pour les urgences sanitaires, a publié en octobre dernier les chiffres sur le taux d’infection mondiale, que le porte-parole de l’OMS, le Dr Margaret Harris, a confirmés plus tard. Off-Guardian explique :

« La population mondiale est d’environ 7,8 milliards de personnes, si 10% ont été infectés, c’est 780 millions de cas. Le bilan mondial actuellement attribué aux infections à Sars-Cov-2 est de 1 061 539. C’est un taux de mortalité par infection d’environ 0,14%. En accord avec la grippe saisonnière et les prévisions de nombreux experts du monde entier. 

« De plus, si les vrais chiffres de covid sont aussi gonflés que certains le prétendent, cela rend le covid-19 probablement encore moins dangereux que la grippe. »

Ainsi, alors que le 4 octobre 2020, l’Organisation mondiale de la santé, au cours d’une réunion spéciale de son conseil exécutif, a annoncé que 10% du monde avait été infecté par le SRAS-CoV-2, ce qui signifie un taux de mortalité par infection d’environ 0,14%, ce qui en fait une maladie pas plus dangereuse que la grippe, les gouvernements occidentaux sont en train de vendre à leur citoyens des vaccins anti-covid à ARN messager, qu’ils seraient plus juste d’appeler thérapies géniques, aux effets dangereux.

Et c’est le docteur Caumes, chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière (Paris), qui le dit aux micros de LCI :

« Au niveau des effets indésirables, il y a un vrai problème dans le vaccin Pfizer. La fréquence d’effets indésirables y est particulièrement élevée. Il y a plus d’effets indésirables chez les jeunes que chez les personnes âgées, et plus après la deuxième dose qu’après la première. »

Parmi ces effets, le Pr Caumes note dans les colonnes du Parisien « des réactions minimes dues à l’injection, comme des rougeurs et douleurs locales », mais aussi de la fièvre.

« 15,8% des 18-55 ans ont eu 38°C ou plus dans les sept jours qui ont suivi la seconde injection. Et 45% ont dû prendre un médicament contre la fièvre ou la douleur. On parle aussi de 55% de maux de tête, 62% de fatigue. »

« C’est beaucoup trop » conclut-il.  

Et les faits sont rapidement venus lui donner raison puisqu’en Grande-Bretagne comme le souligne ce même professeur Caumes, toujours sur LCI, les effets indésirables ont obligé les autorités britanniques à prendre de nouvelles mesures : « Il faut s’entourer de toutes les précautions. Les Anglais ont commencé à vacciner depuis 24 heures et ont déjà lancé une alerte », invitant à « ne plus le donner chez les allergiques ».

Car manque de chance, au lendemain du V-Day, lancé en grandes pompes en vaccinant, sous les applaudissements béats de la foule, Margaret, vieille dame de 90 ans, – scène surréaliste de voyeurisme remake moderne d’Elefant man -, deux personnes, sur les centaines vaccinées hier en Grande-Bretagne, ont eu des réactions allergiques suite à l’administration du vaccin Pfizer / Biontech. L’autorité nationale de contrôle des médicaments britannique, la Mhra, a dû se résoudre à arrêter la vaccination anti-Covid chez les sujets ayant eu des réactions allergiques importantes dans le passé.  

Bref, en seulement 24 heures, les premiers problèmes commencent déjà et, du moins pour le moment, ceux qui ont ou ont eu des allergies importantes ne pourront pas recevoir le vaccin tant attendu. Dans un communiqué officiel de la MHRA, il est expliqué que « tous ceux qui sont dans cette condition, c’est-à-dire qui dans le passé ont eu des allergies sévères aux vaccins, aux médicaments et à la nourriture, et c’est-à-dire des réactions anaphylactoïdes, ou ceux à qui il a déjà été prescrit de toujours avoir un auto-injecteur avec eux d’adrénaline, feraient bien de ne pas subir le vaccin Pfizer / BioNTech ».

L’ensemble de la population du Royaume-Uni, selon les prévisions du gouvernement, grâce également à l’arrivée d’autres vaccins, devrait être vaccinée contre le coronavirus d’ici l’été 2021. À condition qu’aucun autre inconvénient ne se produise dans les jours ou mois à venir… et/ou que le peuple ne se rebelle contre un vaccin aux effets potentiellement dangereux mais censé combattre une maladie pas plus dangereuse que la grippe…

Francesca de Villasmundo

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