J’avais travaillé pendant une semaine pour traduire le très long rapport de Harvard sur l’origine du coronarovirus. L’idée était de le publier en Français.

J’avais mis en chapeau de cette traduction les mots suivants :

On veut nous faire croire que l’infestation par le Covid-19 est issue d’une mutation naturelle d’un virus provenant d’un animal (chauve-souris ou pangolin). Les généticiens de Harvard expliquent que ce n’est pas possible. Pour eux le Covid-19 est issu d’une manipulation génétique effectuée dans le laboratoire P4 de Wuhan. Bien sûr la Chine veut s’en dédouaner.

J’avoue que je me sentais un peu seul face au déferlement médiatique accréditant l’idée que le virus n’était pas né dans le laboratoire de Wuhan, mais était issu de la consommation de chauves-souris ou de pangolins infectés par un microbe naturellement mutant. La célèbre revue Nature allait complètement dans ce sens, stipendiée depuis longtemps par la Chine. Harvard remettait les pendules à l’heure. Pourquoi les médias ont-ils repris l’explication des Chinois ? À n’en pas douter par servilité idéologique, voire plus. Mais le 16/04/2020 à 18 heures, une bombe éclate. De quoi ne pas regretter mon temps passé à travailler le texte des généticiens de Harvard.

Citation du journal informatique Fréquence Médicale.
• « Au moment où le coronavirus SARS-CoV-2 fait irruption dans nos vies et où le doute sur l’origine du virus est au plus haut, le Professeur Luc Montagnier fait éclater une bombe, en exclusivité dans notre journal. » (Fréquence M est un site réservé aux médecins. Il s’agit d’une interview du Pr Montagnier).
• Virologue de renom et prix Nobel de médecine pour la découverte du virus du SIDA, il raconte une tout autre histoire que la version officielle chinoise (chauve-souris, Pangolin, marchés de Wuhan…) pour ramener l’origine de ce virus au laboratoire de virologie de haute sécurité de Wuhan.
• Des recherches sur les vaccins contre le SIDA auraient échappé à leurs auteurs : le nouveau coronavirus contiendrait en effet des séquences d’un autre virus qu’il connaît bien, le VIH, une combinaison impossible à obtenir par le seul hasard de la nature.
• Un phénomène qui daterait du dernier semestre 2019…
• Avec les conséquences mondiales que l’on mesure aujourd’hui. »
Le Pr Montagnier explique en 12 minutes…
Le génome du coronavirus Covid-19 avait été séquencé ; les généticiens y avaient trouvé des morceaux du génome du virus du Sida. En aucun cas, cela ne peut se faire naturellement. Ce ne peut être obtenu que de main d’homme. Il s’agissait certainement de la tentative de mettre au point un vaccin contre le sida. Les Chinois avaient joué les apprentis-sorciers. La nature ne fait pas n’importe quoi. Elle élimine les corps étrangers des génomes au fur et à mesure. En pratique l’infection devrait finalement se débarrasser de ces séquences étrangères. Les complotistes, ce sont ceux qui ne reconnaissent pas la vérité. Les Chinois ont caché celle-ci. Quelques personnes ayant eu l’idée de faire un vaccin contre le sida… Le gouvernement de Chine doit prendre ses responsabilités. Ce qui se passe nous mène à nous défier de la science. D’ailleurs les Chinois commencent à reconnaître que leurs savants travaillaient sur un coronavirus. À noter aussi que les Américains avaient donné de l’argent pour aider les recherches à Wuhan.

Jean-Pierre Dickès

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

6 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires

Abonnez-vous à CARITAS !

Le numéro 2 de la revue Caritas est enfin disponible en prévente sur MCP !

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette revue : la revue CARITAS !