Quelques rappels
Fin janvier 2020, des chercheurs indiens de New Delhi ont réalisé un séquencement du coronavirus (Covid-2019). Ils s’étaient étonnés d’étranges insertions dans le génome, qui faisaient penser à des gènes du virus du sida HIV-1.
Cette étude « controversée », comme on dit dans les milieux autorisés à proclamer la Vérité officielle, a été contestée et retirée par ses auteurs. Il n’empêche.
Les faits étant têtus, fin janvier 2020, des médecins thaïlandais ont soigné une vieille dame septuagénaire atteinte par le coronavirus en lui donnant un mélange de médicaments anti-grippe anti-HIV. Résultat, elle fut remise sur pied en trois jours, malgré son grand âge. Etonnant, non ? aurait dit Desproges.
Encore plus étonnant, le Japon est en train de prendre officiellement des dispositions pour que les hôpitaux japonais puissent faire face à une probable épidémie de coronavirus avec des médicaments anti-HIV. Et ce n’est ni un complot ni une faike niouze, mais une décision gouvernementale. Etonnant, non ? [bis]
La fable pangolinesque
Le narratif officiel est que cette malencontreuse épidémie serait partie du fameux Huanan seafood market, qui aurait disséminé des coronavirus de chauve-souris, avec l’aide de pangolins, d’un bigorneau et de la Fée clochette. Les médias s’appliquent consciencieusement à répéter le docte narratif. Tout est finalement un coup de pas de chance. Circulez et dormez bien, braves gens.
Les complotistes avaient porté leur regard sur différents laboratoires virologiques, classés en sécurité P4 et situés à quelque distance de la ville de Wuhan. Mais, il y a plus simple.
On apprend qu’à 277 mètres à vol d’oiseau du fameux Huanan seafood market, il y a un établissement nommé Wuhan Center for Disease Control & Prevention (WHCDC), qui travaillait entre autres choses sur des virus de chauve-souris. Etonnant, non ? [ter]
L’étude publiée début février 2020 dans The Lancet sur les premiers malades du coronavirus avait déjà souligné que le tiers n’avait pas de lien connu avec le fameux Huanan seafood market. En particulier, le premier malade décédé début décembre 2019 n’avait aucun lien connu avec le dit marché, ce qui jetait un doute sur la docte fable pangolinesque répétée par les médias autorisés.
Deux mois et demi plus tard, il se murmure que le premier malade décédé travaillait justement dans le Wuhan Center for Disease Control & Prevention (WHCDC). Etonnant, non ? [quarto] Il est peut-être trop tôt pour affirmer que cette rumeur est vraie, mais elle semble très plausible. Attendons la confirmation dans 2 ou 3 semaines.
Que penser ?
En résumé, que faut-il conclure à ce point de l’épidémie ?
Dans le brouillard de mensonges en tous genres, il semble acquis que ce coronavirus (Covid-2019) est un virus trafiqué génétiquement avec des insertions provenant ou imitant le virus HIV-1. Ce virus a sans doute été relâché dans le public par défaillance de sécurité. Il est très contagieux.
Il est difficile de se faire une idée précise du taux de mortalité. Les chiffres annoncés par les Chinois sont manifestement pipotés d’un facteur 5 à 10. Il est probable que les Chinois eux-mêmes n’ont pas de chiffres fiables, puisque de nombreux malades décèdent chez eux, en dehors de tout diagnostic précis. D’autre part, il n’est pas acquis que les Chinois appliquent les bons remèdes.
En fait, à ce stade, la question est la suivante : quelle est la mortalité finale réelle de ce virus, si on soigne les malades avec des médicaments initialement destinés à combattre le sida ? Le Japon va peut-être nous apporter la réponse dans les semaines qui viennent.
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