Tels ces gendarmes et policiers qui verbalisent à tour de bras, expression de leur sujétion à la déplorable gestion de la crise sanitaire par le gouvernement macronien et de leur prépotence infatuée face à l’impuissance des pauvres Français confinés et sidérés par la privation radicale de leurs libertés au travers de ce chaos orchestré.
Je suis pour les contrôles, mais là 🙄
Le pouliguen. 135 € parce qu’elle allait nourrir ses chevaux au pré à 500 m de sa maison.
On lui a mentionné qu’abreuver ses chevaux n’était pas « vital ».https://t.co/t1feumRJP3— Marielle J.PdeG (@Flanerie_art) March 23, 2020
Ou ce préfet de l’Aisne, Ziad Khoury, d’origine libanaise, qui a ajouté au confinement l’interdiction de la vente à emporter d’alcool, ce mardi 24 mars : « Il s’agit d’éviter les rassemblements et surtout les violences intra-familiales, qui pourraient être la conséquence d’une consommation abusive d’alcool », a prétendu le haut fonctionnaire. Qui ne se gène donc pas pour s’immiscer dans la vie privée et les habitudes de table des Français tous mis, de force, au régime… hallal. Et qui ne se pose pas la question de savoir si ces certainement probables « violences familiales » ne seraient pas plutôt causées par un confinement irréfléchi.
Nos libertés individuelles sont en train de voler en éclat. Le pouvoir en place se découvre habillé des oripeaux d’un soft-communisme qui ne dit pas son nom…
Francesca de Villasmundo
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