Dans le battage médiatique qui avait suivi l’éruption du virus de Wuhan en janvier dernier, et le cafouillage créé par ses multiples désignations, l’on nous avait dûment expliqué que le coronavirus était une grande famille de pathogènes dont pas moins de sept générations avaient été identifiées depuis 1960. D’où l’appellation de “nouveau coronavirus” (novel coronavirus en anglais) pour désigner le dernier héritier de la “Couronne”.
Deux autres variantes de cette appellation furent mises en circulation: 2019-nCoV suivie, un mois plus tard, de COVID-19, sans que l’on sache trop pourquoi. Que signifiait toute cette confusion ?
Un article publié sur le site MedecineNet accréditait l’équivalence des trois termes en les utilisant de manière interchangeable dans son intitulé:
“Facts you should know about COVID-19 (2019 novel coronavirus, 2019- nCoV, Wuhan coronavirus)”
[Choses à savoir au sujet de COVID-19 (nouveau coronavirus 2019, 2019 n- CoV, coronavirus de Wuhan].
En cliquant sur le lien COVID-19, on trouvait cette explication :
“Le 7 janvier 2020, les autorités sanitaires chinoises ont annoncé qu’elles avaient isolé le virus se propageant à Wuhan. Ce nouveau coronavirus a été nommé initialement 2019-nCoV et a également été appelé coronavirus de Wuhan parce que les premières personnes infectées venaient de la ville de Wuhan, dans la province de Hubei en Chine. Le 11 février 2020, la maladie a été officiellement baptisée COVID-19”.
Rien sur le pourquoi de ce dernier changement d’appellation, ni sur la justification du nombre 19. Etait-ce un clin d’oeil au millésime de ce dernier cru du coronavirus? C’était pourtant en 2020 et non pas en 2019 que le virus avait officiellement été isolé.
Un article paru le 11 février 2020 sur le site du journal Forbes titrait: « Coronavirus Gets A New Name: COVID-19. Here’s Why That Is …” [Le coronavirus reçoit un nouveau nom : COVID-19. Voici pourquoi c’est important]
Selon Forbes, ce nouveau nom avait été choisi par l’OMS pour éviter le stigma et le “racisme” inhérents à la désignation de “virus de Wuhan”. Cette explication de nature idéologique, était confirmée par un tweet du Directeur de l’OMS qui présentait le sigle de COVID comme étant la contraction de Co-rona, Vi-rus et D-isease [maladie]. Il laissait cependant subsister une interrogation sur la datation de ce virus.
Mais l’interrogation n’est bien sûr que de pure forme pour qui connait la longue gestation de cette pandémie surgie en janvier 2020 mais “prédite” de longue date par les pourvoyeurs en chef des vaccins de la planète. Le 29 janvier 2010, Bill et Melinda Gates avaient déclaré à Davos que la prochaine décennie devait être celle des vaccins, annonçant leur contribution de 10 milliards de dollars à cet effet.
Quelques années plus tard, en 2015, Bill Gates déclarait lors d’une conférence TED, que le monde devait se préparer à la prochaine pandémie contre laquelle il n’était absolument pas prémuni. “La plus grave menace à l’humanité ne sera pas nucléaire, mais biologique”, avait-il averti, “les pandémies causeront des millions de morts, nous aurons besoin de deployer l’OTAN et de vacciner les populations”.
En 2018, il confiait à Business Insider qu’une pandémie s’annonçait, qui pourrait bien tuer 30 millions de personnes en 6 mois, et qu’il fallait s’y préparer comme pour une guerre. Cela semble familier ?
Le 18 octobre 2019, la Fondation Bill et Melinda Gates, le Forum économique mondial et le Centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire avaient organisé à New York la simulation d’une pandémie, au cours de Event 201, qui présentait des ressemblances troublantes avec la pandémie du coronavirus qui devait se déclencher 3 mois plus tard. De petites peluches en forme de coronavirus avaient même été distribuées aux participants !
Enfin, le 8 avril dernier, dans une interview accordée au Financial Times au sujet de la vaccination contre le Covid-19, Gates avait martelé :” Mais vous n’avez pas le choix ! Certains pays, surtout les plus riches, seront peut-être en mesure de rouvrir leur économie si tout se passe bien dans le courant des prochains mois mais, globalement, la vie ne reprendra son cours normal que lorsque la population mondiale aura été entièrement vaccinée.”
Bill Gates a du reste laissé échapper l’objectif final de cette vaccination à l’échelle planétaire : l’asservissement de l’humanité. Selon les propres mots de ce malade de contrôle :
« A terme, nous aurons des certificats numériques pour montrer qui s’est rétabli ou qui a été testé récemment et, quand nous avons un vaccin, qui l’a reçu ».
Nous savons par ailleurs que la Fondation Bill et Melinda Gates finance entre autres choses un projet de puçage numérique sur lequel travaille en ce moment le MIT (Massachusetts Institute of Technology. Il s’agira des certificats numériques de la deuxième génération. Au prétexte de nous protéger contre divers agents pathogènes, on essaie donc de nous parquer comme du bétail et de nous marquer du signe de la Bête.
En France, un projet de loi sur la traçabilité numérique sera discuté à l’Assemblée le 28 avril, puis suivi d’un vote.
Hier, le maire démocrate de New York, Andrew Cuomo, réclamait sur le ton de l’urgence la constitution à l’échelle nationale « d’une armée de “traceurs de contacts » composée d’au moins 100.000 professionnels provenant de divers champs d’activité, détectives, personnel soignant, etc , pour pister les gens ayant été en contact avec des personnes contaminées et les isoler aux fins de l’eradication du virus”.
COVID-19
C = Certificat
O = Of
V = Vaccination
ID = Identification
1 = A (1ère lettre alphabet) = Artifical
9 = I (9ème lettre alphabet) = Intelligence
= Certificat Of Vaccination Identification by
Artificial Intelligence
Encore besoin d’explications…?!
#ProjetDeVaccinationMondiale #Puçage
#Traçage #IntelligenceArtificielle #Eugénisme
etc…
Il y a deux jours, le tweet ci-dessus circulait sur les réseaux sociaux. Que COV soit la contraction de Co-rona Vi-rus D-isease ou de C-ertificate O-f V-accination, peu importe puisqu’en fin de compte les deux se rejoignent. Par ailleurs, les élites mondialistes occultistes se montrent souvent friandes de numérologie.
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