Kwame Fozu, président de Rebecca Project (pour les droits humains), une puissante organisation américaine défendant notamment « les filles et les femmes vulnérables » a déclaré que l’idée de Gates était inappropriée. Normalement l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande l’usage conjoint du préservatif ce qui est un paradoxe étrange, car le Depoprovera est précisément implanté (ou injecté) à titre contraceptif. Or cette précaution est totalement ignorée d’ International Parenthood, la plus grande officine mondiale de promotion de l’avortement et de la contraception. Notre lecteur trouvera sur rebecca.project.org (depo-provera deadly reproductive violence against women) un très long et dense rapport sur cette question. Ce dernier titre : « Cette politique malfaisante pour la santé a des implications racistes violant la morale médicale ». Il y est établi une relation avec Magaret Sanger, fondatrice du Planning Familial dont les objectifs racistes étaient l’élimination des noirs notamment dans le cadre du Klu Klux Klan.
Peut-être, pensons- nous que cette affaire ne nous concerne pas. Par-delà les nombreuses et terribles complications de l’usage de ce produit présentées dans ce rapport, une simple question se pose. Pourquoi la diffusion du sida favorisée par ce contraceptif largement utilisé en France notamment dans le cadre des dispensaires du Planning, n’est même pas mentionnée dans la dernière édition du Dictionnaire Vidal 2013 qui en met (p.612) sept colonnes écrites en lettres minuscules sur ce produit ? Qui fait les frais de cette omission ?
Nous retrouvons tout simplement l’idéologie contraceptive qui n’a que faire des dommages collatéraux.
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