« A la douleur pour les victimes et à notre solidarité avec les familles, se joint notre ferme condamnation, en tant qu’évêques italiens, pour ces attentats terroristes, qui contribuent à faire croître à tous niveaux un climat d’insécurité et de peur. » « Cette tragédie nous rappelle tristement qu’il n’existe pas de lieux sûrs et à l’abri du fanatisme, quelle que soit la matrice d’où il est issu. »
C’est dans le quotidien Avvenire, au lendemain des attentats qui ont ensanglanté la ville de Bruxelles. C’est l’évêque Nunzio Galantino, secrétaire de la CEI (Conférence épiscopale italienne), qui parle au nom de ses confrères. C’est une déclaration où toute référence à Dieu est omise. C’est une promotion…de l’intégration, moyen miracle pour combattre le « fanatisme » qui frappe la capitale belge, cœur de la politique migratoire défendue par l’Union européenne. Fanatisme dont ces ecclésiastiques n’osent nommer et identifier ni les auteurs ni la religion. Ils ont les chochottes rien qu’à envisager une potentielle responsabilité de l’Islam. Ils sont dans le Pasdamalgam ! Ils sont dans le déni de la réalité, nue, crue, douloureuse. Et c’est à ces peureux qu’on va confier notre Avenir ?
« En ces moments, nous nous demandons tous – et pas seulement ceux qui ont des responsabilités politiques – que faire, comment réagir, comment se défendre. Certainement les mesures de sécurité déjà mises en place doivent être confirmées et renforcées. En même temps, cependant, nous sommes convaincus qu’elles ne peuvent pas à elles seules résoudre raisonnablement et efficacement ce drame, comme ne pourront le faire les politiques de fermeture, les murs, les barbelés. Dans un moment si difficile, nous devons tous réfléchir et nous engager dans de nouveaux chemins, en tout premier celui de l’intégration sociale et culturelle, au moins pour ceux qui se rendent disponibles. » continue le monseigneur courageux.
L’intégration sociale et culturelle, cette fameuse et utopique politique d’intégration ! Cela fait des décennies qu’on la brandit comme la solution magique à tous les problèmes liés, depuis les années 70, à l’immigration extra-européenne, composée surtout de populations musulmanes. Qu’elle coûte, chaque année, des milliards à l’Europe, aux contribuables français, italiens, allemands, etc. Avec des résultats catastrophiques et désastreux, dans tous les pays.
Et Monseigneur Galantino veut nous faire croire que c’est « un nouveau chemin »? Qui n’a jamais été exploré ? Alors que c’est un chemin qui nous mène droit dans le mur !
Son discours est un scandale, un de plus pour cet évêque qui sent le souffre ! Il trompe ses ouailles en occultant la vérité : le terrorisme islamique en Europe n’est que le monstrueux bébé né d’une fausse religion et d’une politique migratoire européenne criminelle. Mgr Galantino témoigne ainsi de son assujettissement scélérat à l’idéologie du « vivre-ensemble », de l’intégration, de la mixité ethnique et culturelle, d’un monde sans frontières, d’une humanité nomade, des religions bonnes sœurs et fraternelles. Idéologie humanitariste aux terribles et dévastatrices conséquences dont les peuples européens endormis commencent enfin à prendre conscience parce que frappés dans leur chair, dans leur famille, dans leur confort.
Avec de tels pasteurs, le monde catholique sera bientôt, sur ce sol européen où a fleuri la civilisation chrétienne, réduit en dhimmitude,…intégré dans le monde musulman !
Francesca de Villasmundo
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !