Le recours systématique à l’imagination des experts psychiatres est la principale cause de la pauvreté scientifique des expertises psychiatriques qui se limitent trop souvent à des opinons subjectives. Les effets pervers de la psychiatrie-fiction jouent pleinement, dans la presse de bavardage, à propos de Andreas Lubitz, le co-pilote-fou solitaire, qui a agi avec la négligente complicité du pilote, en « abandon de post » caractérisé.
Le principal objectif des soi-disant experts de la psychiatrie-fiction est de vendre de la désinformation. Il faut occuper l’espace médiatique du bourrage de crâne, comme le fait la publicité mensongère et profitable.
Le principal objectif des expertises psychiatriques n’est pas de recourir à la science. Il s’agit d’ouvrir les débats à des opinions infinies et contradictoires, pour la victoire de l’erreur et de la médiocrité. Il s’agit aussi de vouloir fixer des limites de plus en plus étroites à la sagesse supposée des décisions des juges.
La critique de l’erreur des expertises psychiatriques corporatistes et ignares des règles élémentaires de la psychiatrie médico-légale est justifiée par la subjectivité des opinions émises qui laisse le champ libre à l’imagination des experts psychiatres en matière criminelle. Si de telles erreurs d’appréciation sont liées à la médiocrité des experts psychiatres, ce sont des erreurs humaines. C’est pourquoi ces erreurs sont évitables en faisant le choix de désigner des experts compétents en matière de psychiatrie médico-légale.
Le recours systématique des magistrats à l’opinion subjective, arbitraire et anti-scientifique, des soi-disant experts psychiatres est la principale cause des erreurs des expertises psychiatriques.
Ce sont des raisonnements erronés qui viennent créer la confusion dans les esprits, lors des débats de la Cour d’Assises. L’erreur des expertises psychiatriques corporatistes est habituellement le résultat d’une position dogmatique et d’un catéchisme psychiatrique composé d’idées toutes faites.
Ce sont elles qui constituent le fondement des croyances de ces soi-disant experts. Ils préfèrent le verbiage creux, d’inspiration pseudo-psychanalytique et d’allure soi-disant thérapeutique.
C’est pourquoi l’idéologie dogmatique faussée des experts psychiatres incompétents est le principal obstacle à l’avancée de la raison et de la recherche de la vérité, au cours des débats de la Cour d’Assises.
Les progrès de la science et l’accumulation des connaissances en matière de psychiatrie clinique ne sont pas très utiles à des experts compétents en matière de psychiatrie médico-légale. Ces derniers exigent que soient éliminées les mauvaises théories de la psychiatrie clinique et le dogmatisme du DSM en matière judiciaire. Les experts compétents en matière de psychiatrie médico-légale mettent en question les dogmes et les fausses vérités de la psychiatrie clinique. Elles sont tenues pour acquises par les croyants dans les vertus du DSM, c’est-à-dire dans les vertus du catéchisme psychiatrique en matière clinique. Les soi-disant experts profiteurs de ce complot de l’ignorance, et de l’erreur faussement scientifique, ne manquent pas d’arrogance.
Ils traiteront les experts compétents en matière de psychiatrie médico-légale de « nihilistes acharnés » à subvertir les « nobles desseins » de la psychiatrie clinique soumise au « dogmatisme du DSM ». En réalité, ils ne font que subvertir les desseins mesquins des expertises psychiatriques bâclées, mais très profitables.
Cependant, pour vouloir empêcher la confusion des débats de la Cour d’Assises, il ne suffit pas de critiquer l’ignorance des faux experts psychiatres ou ceux parmi les juges qui en profitent pour se protéger. Il faut seulement aménager un espace pour l’esprit critique au sein même de la psychiatrie à usage judiciaire.
On sait que l’arrogance et la suffisance de ces soi-disant experts en verbiage creux d’allure pseudo- thérapeutique et d’inspiration pseudo-psychanalytique sont, par nature, infinies. C’est pourquoi la plupart des experts psychiatres ne peuvent admettre honnêtement leur ignorance et leur idéologie dogmatique faussée.
Comme la plupart des experts psychiatres ne peuvent rompre avec leurs habitudes de médiocrité et leurs attitudes irrationnelles, ils refusent toute compétence scientifique. C’est pourquoi ils sont incapables de découvrir de nouvelles manières de participer honnêtement aux débats de la Cour d’Assises.
Les vertus du catéchisme psychiatrique en matière clinique, soumis au « dogmatisme du DSM », vient perturber le fonctionnement logique des débats de la Cour d’Assises. Ils présentent de fausses solutions soi-disant thérapeutique et traîtresses, qui sont toujours d’inspiration infiniment bienveillante pour les accusés.
Les experts en matière de psychiatrie médico-légale critiquent la nature illusoire des faux diagnostics du catéchisme psychiatrique soumis au « dogmatisme du DSM ». Ils critiquent ses conséquences judiciaires en matière de bienveillance des juges et la tendance générale à excuser des « malades » qui n’en sont pas.
Les experts de psychiatrie médico-légale critiquent la faveur dont jouit aujourd’hui la médiocrité des expertises psychiatriques corporatistes et ignares des règles élémentaires de la psychiatrie médico-légale.
Ces expertises psychiatriques corporatistes, médiocres et ignares, ont défiguré la psychiatrie à usage judiciaire classique et beaucoup plus rationnelle. Le choix de désigner des experts incompétents en matière de psychiatrie médico-légale pose la question de l’éthique professionnelle des juges. C’est aussi la question des relations qu’ils entretiennent avec certains experts qui doit être soumise au jugement critique en matière d’expertises psychiatriques. En réalité, une discussion ouverte, détendue et courtoise, sur de tels sujets trop souvent négligés est impossible. La mystification des expertises psychiatriques médiocres n’est donc pas très propice à l’exploration scientifique des faits concrets et à la recherche de la vérité au cours des débats de la Cour d’Assises. C’est pourquoi la recherche de la vérité est trop souvent négligée au profit des gesticulations vides de sens des avocats de la défense et du manque d’arguments scientifiques de l’accusation.
On sait que le manque de preuves scientifiques des expertises psychiatriques médiocres encourage les supercheries dans l’exercice de l’expertise psychiatrique habituelle. C’est la recherche du prestige et du pouvoir de contrôler le monde judiciaire, et même de l’argent et non de l’éthique de la médecine qui domine le monde des experts psychiatres.
Le catéchisme psychiatrique en matière clinique, soumis au « dogmatisme du DSM », est une institution servant à vouloir contrôler le fonctionnement de l’école et de la société, en général, sous le masque de la prévention en soi-disant santé mentale. Le catéchisme psychiatrique, soumis au « dogmatisme du DSM », veut pouvoir contrôler le fonctionnement de la justice et influencer les décisions de la justice, en particulier.
D’où cette nécessité éthique impérieuse de critiquer les effets pervers de la psychiatrie-fiction, dans la presse et les médias voués au bavardage, soumis à la vanité médiatique et au « dogmatisme de la bêtise et de l’ignorance », à propos de Andreas Lubitz, le co-pilote-fou solitaire de l’airbus A 320.
Cette même nécessité éthique impérieuse doit critiquer les effets pervers des préjugés des magistrats de la Cour d’Assises et des experts psychiatres, soumis au « dogmatisme du DSM ».
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