Civitas vient de s’adresser au Premier ministre dans le cadre d’une procédure appelée « recours gracieux », afin de réclamer une dérogation au couvre-feu de 18h pour l’exercice effectif du culte pour le mercredi des Cendres et pendant la Semaine Sainte.
Le couvre-feu à 18h avait été initialement annoncé pour une durée minimum de 15 jours, puis prorogé pour une durée indéterminée, selon une méthode devenue classique de ce gouvernement.
Faute de pouvoir obtenir dans l’immédiat la fin complète du couvre-feu comme le voudrait le bon sens, il faut déjà obtenir certaines dérogations.
C’est la démarche de Civitas qui rappelle que les catholiques avaient déjà été privés l’année dernière de l’ensemble des offices de la Semaine Sainte.
Civitas rappelle également au Premier ministre que le juge administratif a déjà condamné cinq fois l’Etat pour atteinte grave et manifestement illégale à une liberté fondamentale envers les catholiques en moins d’un an. Aussi, le président de Civitas prévient le Premier ministre qu’il n’hésitera pas à retourner devant le Conseil d’Etat si cela s’avère nécessaire.
Une fois de plus, on notera que Civitas se maintient en première ligne du combat pour la Messe, faisant le travail que les évêques ne font pas.
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !
Ils en rêvent depuis des décennies! Et bien on ira chercher nos sous à l’amiable. 500 à 1000 personnes dans chaque agence, cela se verra.
Les portes des agences bancaires seront fermées comme à Chypre …
Vous connaissez le bulldozer-bélier? Cela aide à ouvrir les portes, même s’il n’y a plus d’argent dans les agences, cela leur servira d’avertissement.
Et autrement, nous passerons au troc, ou à la monnaie locale. En réalité nous n’avons pas besoin des banquiers-requins. Une fois que l’on a compris cela on cesse d’être leur esclave.
Tout à fait, plusieurs solutions existent, certaines pratiques et pratiquées depuis des siècles ! La première solution : dès la fermeture (ou la gelure), oubliez de régler vos dettes au « système » actuel ! Et troquez ou échangez facilement éventuellement contre billets à ordre de monnaies individuelles ou locales, sinon contre travail-nourriture, logement-travail etc… ET plus un sous d’impôts en primes !
Si ceux qui écoutent ces 2 américains hésitent encore à se préparer pour le jour ( ou l(heure ) ou cela va arriver..; tant pis pour eux… Pourtant il y’a moyen pour tout le mnde d’essayer au moins de résister… et Dien pourvoira pour le reste mais cela n’excuse en rien le fait de faire le 1er pas à chacun de nous…