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Civitas Lyon dénonce l’attribution d’une subvention en faveur de la propagande « écosexuelle » de Lundy Grandpré.

La folie écosexuelle, nouveau paganisme wokiste
Plusieurs mineurs ont été exposés contre leur volonté à un étalage de corps dénudés dans un contexte érotique, ce qui définit tout à fait l’expression « exhibition sexuelle ». (article 227-24 du Code pénal)

Dans une lettre de protestation adressée à monsieur Grégory DOUCET, maire écologiste tendance ultra-wokiste, le chef de la région Rhône-Alpes de Civitas et la section du Rhône s’élèvent contre l’attribution d’une subvention en faveur de la propagande écosexuelle de Lundy Grandpré.

Nous avions déjà dénoncé, ici même, cet organisme qui dit faire la promotion de l’écosexualité (1), l’écoféminisme et la “botanique jubilatoire” en  montrant un homme entièrement nu ramper telle une larve dans un espace vert où a été installé un sex-toy.

Pour fêter leurs trois ans de mandat, les élus écologistes de Lyon veulent faire voter aux conseillers municipaux une série de subventions culturelles parmi lesquelles un montant de 1 500 euros, serait précisément destiné aux auteurs de cette exhibition sexuelle en présence d’enfants.

Lettre ouverte à Monsieur le Maire de Lyon – 20 juin 2023

Monsieur Grégory DOUCET, Maire de LYON / Hôtel de Ville / 1, place de la comédie / BP 1065 / 69205 LYON Cedex 01

Monsieur le Maire,

La section CIVITAS du Rhône a été alertée par plusieurs de vos administrés, scandalisés par le projet d’attribution d’une subvention publique à un certain collectif dit artistique Lundy Grandpré qui sera débattu lors du prochain Conseil Municipal en date du 29 juin.

Les élus écologistes emmenés par votre adjointe madame Nathalie PERRIN-GILBERT, veulent dit-on fêter de cette manière les trois ans de leur mandat.

Depuis sa diffusion sur les réseaux, cette annonce soulève en effet de très vives protestations, à l’instar de Monsieur Pierre OLIVIER, maire du 2ème arrondissement et président du groupe LR, qui honore son parti en dénonçant « l’utilisation wokiste et militante » du budget culturel de la ville de Lyon.

Pourquoi une telle opposition ? pourquoi une telle indignation ? Point n’est besoin de procéder à de longues recherches pour partager cette vague de rejet.

Lundy Grandpré affiche une réputation subversive revendiquée depuis son installation à résidence au Centre d’Art de Saint-Fons : Il prône une batterie de concepts extrémistes comme l’éco-sexualité « forme radicale d’activisme écologique basée sur l’idée que la Terre est notre amante, sur l’union avec les éléments végétaux jusqu’à l’atteinte du plaisir » (source : Wikipedia), l’éco-féminisme, l’alter-gynécologie (sic), le mouvement Queer, le questionnement sur le Genre. Leur principe majeur consiste « à déconstruire les stéréotypes, à subvertir l’ordre établi ».

Pire encore, des séquences vidéos sur les « performances » de la troupe partagées largement sur la toile, promeuvent l’une de leur prestation-fétiche « Devenir larve », un spectacle « éroticovégétal » (source Radio France du 20 juin 2023) dont la description provoque la nausée, au cours de laquelle des intervenants nus se livrent dans un jardin décoré d’accessoires érotiques et devant un public non seulement d’adultes mais d’enfants, à des contorsions corporelles suggestives.

Il est étonnant à cet égard que Lundy Grandpré n’ait pas fait alors l’objet de dépôts de plainte sachant que les dispositions de l’article 227-24 du Code pénal érigent en délit « le fait de diffuser un message à caractère pornographique ou de nature à porter atteinte à la dignité humaine aggravé lorsque ce message est susceptible d’être vu ou perçu par un mineur ».  

Vous avez expliqué que « ni la ville, ni les artistes n’ont souhaité exposer des enfants à la nudité » : C’est pourtant un fait avéré et incontestable. Plusieurs mineurs ont été exposés contre leur volonté à un étalage de corps dénudés dans un contexte érotique, ce qui définit tout à fait l’expression « exhibition sexuelle ».

Comment après avoir fait carrière dans le secteur humanitaire au sein de l’Association Planète Enfants § Développement œuvrant à la protection des enfants, pouvez-vous aujourd’hui, Monsieur le Maire, apporter votre soutien à un tel mouvement ?

Comment l’Etat incapable de financer les retraites de français peut-il lui aussi gaspiller 6 000 € d’argent public fourni par les contribuables au profit de ce collectif chargé de déconstruire les fondements de notre société ?

Aussi, en ma qualité de chef de région de CIVITAS Rhône-Alpes, unique parti politique œuvrant à promouvoir et défendre l’identité nationale et chrétienne de la France en s’inspirant de la doctrine politique et sociale de l’Eglise, je vous demande expressément de ne pas voter l’attribution de fonds publics financés par nos impôts à Lundy Grandpré.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire, l’expression de mes respectueuses mais néanmoins vigilantes salutations.

La Section du Rhône et le chef de la Région Rhône-Alpes de CIVITAS

Adresse mail : mourier.jean@protonmail.com

A  MPI, nous soutenons tous ces courageux militants qui osent braver, sous les quolibets, les insultes et les menaces judiciaires, la doxa dictatoriale importée des décadents Etats-Unis d’Amérique à grand renfort de lâcheté et de complicité macronienne !

Voici quelques exemples de leurs courageux combats : 

– La section Civitas de Saône-et-Loire s’élève à nouveau contre le nom d’un festival choisi pour moquer la religion catholique
– Action à Saint-Senoux contre la propagande des drag-queens
– En direct de Carnac : fidèles bretons et militants de Civitas bloquent le concert profanatoire qui a fini par être annulé
– Lettre ouverte des Collectifs Parents en Colère contre l’idéologie du genre à l’école !
– Lettre ouverte de protestation à Mgr Centène contre le concert profane dans l’église Saint-Cornély de CARNAC
– Exposition blasphématoire au parlement européen
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Les élus écolos de Lyon subventionnent une exhibition sexuelle devant des enfants

Paul DEROGIS

(1) D’après le livre Eco-Sex, écrit par Stefanie Iris Weiss en mars 2010 et paru aux éditions Ten Speed Press, les écosexuels ne verraient plus la Terre comme une mère nourricière, mais comme « une amante », une entité avec laquelle ils peuvent entretenir un lien sensuel, érotique, voire sexuel. Les individus chercheraient à éprouver du plaisir en s’unissant à « des éléments naturels comme l’eau, la terre et les plantes ». Cela peut prendre des formes diverses, comme se rouler dans la terre, se baigner nus dans une rivière, ou caresser les arbres.

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