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Civitas : il faut encore se battre pour libérer Vincent Lambert et obtenir son transfert vers un centre médical qui le conservera en vie

Communiqué de CIVITAS – 21 mai 2019

C’est la république maçonnique qu’il faut euthanasier, et non Vincent Lambert

Quel rebondissement !

La mise à mort de Vincent Lambert avait débuté ce lundi matin : il s’agissait là ni plus ni moins d’un assassinat aggravé par le fait qu’il s’agit d’une personne vulnérable.

Assassinat car cette mise à mort ne passait pas par un arrêt des soins, mais par une privation de son alimentation et de son hydratation, chose nécessaire à chaque être vivant. La mauvaise foi du docteur Sanchez et du gouvernement se démontrait un peu plus dans leur refus d’accepter le transfert vers l’un des sept centres spécialisés qui avaient dit leur volonté d’accueillir Vincent Lambert.

Que l’on se cache ou pas derrière la loi Léonetti, cette mise à mort constituait un crime.

C’est cette république maçonnique qu’il faut euthanasier, et non Vincent Lambert.

C’est la franc-maçonnerie, à l’origine de cette république et de quantité de ses lois scélérates, qui promeut la culture de mort pour les innocents et sauve la vie des criminels !

Mais lundi soir, la Cour d’Appel de Paris ordonnait de reprendre l’hydratation et l’alimentation de Vincent Lambert. Deo gratias ! Merci Dieu Tout Puissant ! Merci à la Très Sainte Vierge Marie ! Car c’est une bataille eschatologique qui se joue et les prières des derniers jours auront sans nul doute pesé beaucoup dans l’obtention de ce rebondissement juridique salvateur. Merci aussi à Maître Jérôme Triomphe et autres avocats dont l’inébranlable et pugnace persévérance a été couronnée de succès.

Mais la bataille n’est pas terminée. Il faut encore prier et encore se battre pour libérer Vincent Lambert et obtenir son transfert vers un centre médical bien décidé à le conserver en vie.

Enfin, la bataille est également politique, car il faut retrouver des lois qui protègent la Vie des offensives mortifères.

Civitas rappelle son opposition farouche à cette culture de mort, de l’avortement à l’euthanasie.

Un jour viendra, tôt ou tard, où Emmanuel Macron et le Dr Sanchez devront rendre des comptes.

Emmanuel Macron, en tant que Chef de l’Etat, avait le devoir de protéger les plus vulnérables. Il n’est pas intervenu pour sauver Vincent Lambert. Lui et ses ministres avaient validé la condamnation à mort de Vincent Lambert; au seul véritable motif d’être une personne handicapée.

Le Dr Sanchez, en tant que médecin, avait le devoir de protéger la Vie. Il a parjuré son serment d’Hippocrate et s’était rendu l’exécutant d’un crime d’Etat jusqu’à ce que la Cour d’Appel de Paris vienne interrompre son geste.

Un jour viendra où justice sera rendue et où ceux qui sont coupables d’avoir prémédité la mise à mort d’innocents devront être punis sans pitié.

Alain Escada, président de Civitas

21 mai 2019

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