La chute du Crédit Suisse est aussi la chute de Pips Bunce. Rappelons la série d’éloges exagérés que le « genderfluid manager » avait reçus dans le passé, au cours desquels il était presque défini comme une sorte de sorcier financier.
Pips Bunce, le « fabuleux manager genderfluid »
Le Crédit Suisse lui-même avait félicité Pips Bunce pour son inclusion en 2018 dans la catégorie « Héros » du Financial Times. « Parmi les meilleures femmes cadres », avait écrit le célèbre quotidien progressiste américain, même si Pips Bunce est en réalité Philip Bunce, avant le processus de « transition » de genre.
Bref, Bunce le Woke qui crée de l’argent à partir de rien était devenu un nouveau mythe qui s’est même répandu dans la presse spécialisée. En pensant à ce qui arrive à la banque en question, on ne peut s’empêcher d’émettre un rire tonitruant.
Congratulations to Pips Bunce on being listed on the Top 100 Female Executives list in the 2018 @HeroesinB & @FT champion of #WomeninBusiness #FTHERoes18 pic.twitter.com/dU3Kuj65fs
— Credit Suisse (@CreditSuisse) September 20, 2018
Le krach du Crédit Suisse
Le coup porté à la banque suisse a été d’une telle portée historique que sans être des spécialistes de l’économie financière on se demande qui a tant exalté le – ou la, la confusion est si grande – le manager transgenre, fluide ou tout ce que vous préférez… En tout cas, la prétendue « sorcière » financière ne s’est pas avérée être une telle sorcière, étant donné la gifle évidente à laquelle l’institution où elle travaille est désormais confrontée.
Bref, la propagande LGBT en prend un sérieux coup et il vaut mieux ne pas confier ses intérêts financiers à des personnes trop absorbées par leur petit « moi ».
L’institution suisse suit la Silicon Valley Bank américaine dans une crise qui pourrait s’étendre davantage et qui, chez certains initiés, suscite beaucoup de craintes.
Francesca de Villasmundo
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