Le 88e congrès des Départements de France, réuni à Rennes, aborde la problématique des immigrés classés « Mineurs non accompagnés » (MNA) qui, au titre de l’aide sociale à l’enfance, bénéficient de l’aide des collectivités. Ce qui crée un appel d’air et fait exploser les budgets.
Ces « Mineurs non accompagnés » se présentent comme âgés de 15 à 18 ans, avec la quantité d’abus que l’on sait de jeunes hommes qui ont en réalité largement dépassé cet âge. La plupart (95 %) sont des garçons et 70 % viennent d’Afrique, en particulier d’Afrique de l’Ouest francophone, où il n’y a pas de guerre. C’est donc bien une immigration économique et illégale massive.
Jean-Luc Chenut, le président du conseil départemental d’Ille-et-Vilaine, a abordé le sujet, ce jeudi, à Rennes, en ouverture du 88e congrès des Départements : « Le Département est chaque jour sur tous les fronts de la solidarité, il faut redire l’urgence de la situation et l’impératif de réponses enfin à la hauteur de problèmes posés. »
Car le coût de la prise en charge d’un « mineur étranger non accompagné » au titre de l’aide sociale à l’enfance (ASE) atteint au bas mot 50.000 € par an, ce qui, à l’échelle du territoire national, représentera une ardoise d’au moins 1,5 milliard d’euros d’ici la fin de l’année, chiffre sans cesse réévalué à la hausse.
Et qui paye ? Vous et moi, les contribuables dindons de cette mauvaise farce.
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Amnésique ? je ne crois pas ! mais les merdias via nos gvts ont tout fait pour décérébrer la population française, qui n’ayant plus à travers l’école, les outils pour penser et réfléchir font des plus jeunes des ignorants et certains plus âgés, des oublieux, ce qui les arrangent fortement… la manipulation est plus facile ! lorsque je vois des personnes d’un certain âge accrochées à leur portable, (comme à une canne) et accros à cette fichue tv, il n’est pas étonnant que les plus jeunes n’aient plus de repères. Donc, il est plus facile de manipuler les 3/4 de la population…. et Macron est donc le « gendre » beurk idéal, quoique, le gendre n’étant plus de mode, on s’accommode aisément de ce qui se présente, même le plus pourri !
Actuellement, nous pourrons ressortir tous nos manuels d’histoire, géographie, français et mathématique, avec la preuve par neuf (savent-ils ce que c’est ? ) que ce n’est pas ce que l’on rabâche à longueur d’antenne, ils s’en contre fichent dans la mesure où ils ne comprennent même pas de quoi l’on parle…..
Ce que dit balaninu dans son second paragraphe est malheureusement on ne peut plus vrai. Mais déjà dans les années 80 j’ai été viré d’un lycée et collège catholique sous contrat dans l’Ain pour avoir inclus, en traitant le présent de « être » en anglais, les formes verbales de la deuxième personne au singulier, tout en expliquant qu’elles n’étaient plus usitées sauf dans la prière, mais qu’il fallait reconnaître le tutoiement, par exemple en lisant de la poésie encore du XIXe, pour ne pas parler de Shakespeare. Quelques élèves ont raconté ceci à leurs parents ; ils (ou probablement elles) sont venus le lendemain parler au directeur, qui m’a licencié sur-le-champ sans m’écouter, ce qui m’a fort embarrassé, car pour accommoder l’école j’avais renoncé à la plupart de mes heures de maître vacataire à Lyon III pour le semestre concerné. Je me suis plaint à l’inspection académique de l’Ain ; l’inspecteur m’a expliqué que ce procédé aurait bien été illégal dans le cas un lycée étatique, mais puisqu’il s’agissait d’une catholique, il ne pouvait malheureusement rien faire pour moi, et en conséquence j’ai été obligé de vendre mon piano pour continuer à exister. Je crois que cet esprit, à l’époque rare, est devenu courant, et que le mot d’ordre les autorités est devenu « quid est veritas ? » – mais plus dans le latin de Ponce Pilate, cela va sans dire.
« dans le cas d’un lycée étatique », évidemment, pardon.
Les méthodes de la Propaganda-Abteilung en France (entre 40 et 44), ont été parfaitement assimilées et même améliorées par les médias français actuels.
Il ne reste plus que quelques réfractaires pour servir d’alibi « pluralisant ».
De plus, en Belgique par exemple, ce n’est pas mieux. Voire pire.
D’accord ! A croire que le reniement de ses propres paroles est une fonction particulière chez les hommes politiques. Comment resteraient-ils en place si longtemps, sont réélus à chaque occasion, sautent d’un ministère à l’autre sans compétence particulière. Quant à la Belgique @Etienne, les gouvernants .be ne peuvent gouverner « seuls ». IL s’agit toujours d’une coalition de personnes issues des divers horizons. Impossible d’avoir un gvt uniquement socialiste. C’est généralement un « melting-pot ».
Ce n’est pas la république qui est amnésique, mais ce sont ceux chargés, payés pour la servir, qui le sont. Faites-le leur remarquer, à ceux qui sont encore en vie, ou ceux, défendant les mêmes idées, vous verrez que l’amnésie, dans ce cas-là ,est plus qu’une porte de sortie, c’est un aveu.