Le diocèse du Havre, gangrené par l’ultra-progressisme et dont nombre de clercs mènent une vie dissolue, pendant que les derniers fidèles fuient, va retrouver un élément qui ne dépare pas de l’ensemble, un prêtre marianiste.
Le diocèse de Saint-Dié indique, dans ses nominations fin juin 2022 : « nous remercions le Père Philippe HUE, prêtre marianiste, pour sa présence dans notre diocèse et les services rendus pendant cinq années. Philippe est arrivé dans les Vosges à l’automne 2017. Il a assuré la charge de prêtre auxiliaire au service de la paroisse Saint-Gérard-de-la-Vallée-des-Lacs (Gérardmer). Depuis le 1er septembre 2019, il assurait la charge de curé modérateur de la paroisse Saint-Brice à Thaon. Il rejoint le diocèse du Havre, sa région d’origine« .
En poste à Tozeur, dans le sud Tunisien, ce dernier avait expliqué qu’il avait « calé sa prière sur celle des musulmans » et donné d’autres précisions dans un interview complaisant. « Dans cette terre d’islam, il a bien fallu adapter le message officiel, car « il peut être difficile à une personne arabe musulmane convertie de s’y retrouver dans un discours très romain ». Son sacerdoce consiste à être au plus près d’un public bien différent de ceux des pays chrétiens. « En Europe, on a édifié sur du solide. Quand vous êtes ici, c’est une tout autre forme d’Église. Il faut une acculturation, une coloration de l’Evangile ». Sans prosélytisme. On se contente d’annoncer le royaume de Dieu ».
Les missionnaires envoyés en Tunisie entre 1880 et les années 1950 arrivaient pourtant sans peine, et n’éprouvaient guère le besoin de s’acculturer à l’islam et aux pirates barbaresques…
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