A quelques jours du colloque Civitas, Médias Presse Info a posé quelques questions à Alain Escada, président de Civitas.
MPI : Samedi, Civitas organise un colloque avec une liste d’intervenants qui valent vraiment le déplacement. Pouvez-vous nous présenter succinctement cette journée ?
AE : Civitas a voulu placer ce colloque dans le cadre du réel et du concret. Avec un intitulé général comme « Catholiques, engagez-vous !« , il nous semblait important de donner la parole à des personnalités dont l’engagement catholique, dans leur domaine respectif, est notoire et assumé. Ce samedi, vous pourrez rencontrer des élus, des journalistes, des écrivains, des responsables associatifs, et bien sûr des prêtres, qui savent ce que signifie « s’engager » et qui nous montrent que « l’art du possible » ouvre de bien plus nombreuses perspectives qu’il n’y paraît.
Dès 10h, le colloque s’ouvrira avec une première table ronde ayant pour thème « S’engager au service du bien commun dans la Cité est un devoir pour les catholiques« . L’abbé Xavier Beauvais, le Dr Jean-Pierre Dickès et moi-même répondrons aux questions de Vivien Hoch. Nous partageons tous les quatre un point commun : nous nous sommes retrouvés en première ligne de bien des manifestations ces dernières années, mais nous restons aussi soucieux de consacrer du temps à former les intelligences des défenseurs du Bien.
J’insiste beaucoup sur ce point : nous savons occasionnellement occuper la rue mais cela ne doit être que le témoignage public d’une mobilisation capable de construire une authentique alternative. Et, pour cela, il faut former des élites catholiques prêtes à prendre des responsabilités dans la société. A tous les niveaux. Il nous faut des patrons catholiques, des enseignants catholiques, des magistrats et des avocats catholiques, des médecins et des infirmiers catholiques, des journalistes catholiques, des écrivains et des artistes catholiques, des artisans catholiques et bien sûr des dirigeants politiques catholiques.
Ce qui nous mène à la seconde table ronde, « Être maire, pour quoi faire ?« , animée par Martial Bild, directeur de rédaction à TV Libertés. Quatre maires nous feront l’honneur d’y participer : Charles Berthollet (maire de Rouvray), Xavier Lemoine (maire de Montfermeil), Hervé Lucbéreilh (maire d’Oloron-Ste-Marie et conseiller général des Pyrénées Atlantiques), ainsi que Jacques Tissier (maire de Fontgombault). Ces quatre parcours permettront d’offrir au public un éventail des différentes situations envisageables, du petit village à la grande ville, de la commune rurale au grand pôle urbain. Nous écouterons avec intérêt le récit de leurs expériences, la description des difficultés rencontrées mais aussi des satisfactions et des mesures prises au service du bien commun.
MPI : Ensuite, l’après-midi sera consacré à quatre exposés. De quelle nature ?
AE : Nous resterons dans le concret. François-Xavier Peron, membre de la direction de Civitas, traitera de la laïcité et de la liberté religieuse, des notions souvent mal comprises et qui servent de prétexte à bien des erreurs dans la conduite des Etats modernes. Un moment très attendu sera sans doute l’intervention d’Emmanuel Ratier, journaliste d’investigation et auteur d’une désormais célèbre biographie de Manuel Valls. Emmanuel Ratier viendra notamment nous décrire comment les cercles du pouvoir ont bien l’intention d’installer Manuel Valls à l’Elysée en 2017 et ce que cela pourrait signifier en terme de conséquences. Ensuite, je prendrai la parole pour tenter un bilan comparé des stratégies et des tactiques utilisées au cours des cinq dernières années en matière de riposte à l’antichristianisme et de résistance à la politique antifamiliale. Enfin, M. l’abbé de Cacqueray, dont le soutien à Civitas a toujours été précieux, nous rappellera à quel point la France a besoin de chefs catholiques.
MPI : Quel public attendez-vous ?
AE : Le public devrait être assez varié, à l’image de ce pays réel qui s’est redressé ces quinze derniers mois. Avant tout, des catholiques décomplexés et des familles de France soucieuses d’accomplir leur devoir. Nous aurons même probablement des personnes qui cherchent à découvrir ce qu’est le vrai message du christianisme non aseptisé. Des élus municipaux viendront également prendre des contacts dans le cadre des réseaux qui doivent leur permettre de s’épauler mutuellement. J’ajoute que différents auteurs dédicaceront leurs ouvrages durant cette journée qui se veut aussi un moment de convivialité propice à acquérir de bons écrits ainsi qu’à approcher des représentants de médias alternatifs.
Ce colloque se déroulera ce samedi 5 juillet, de 10h à 18h, 84 rue de Grenelle, dans le 7e arrondissement de Paris. L’entrée est fixée à 10 euros.
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et l’ignoble macron diffuse des tracts pur montrer le bien qu’il a exercé pendant son mandat! Quant à la racaille dans les ehpads, on croit rêver, un cauchemar naturellement
En voilà une idée quelle est bonne : faire garder des moutons sans défense par des jeunes loups qui pourront les dépouiller sinon les violer à l’occasion ; dans le meilleur des cas ils ne riquent rien en insultant des vieux coufars. Auront-il (elles) lobligation vaccinales si chèrement refusée par le Yéti qui ne veux pas que ses petits chéris soient des cobayes ? Autre suggestion : pourquoi ne pas remplacer les viglies et tous les services de sécurité, notamment ceux gardant les banques, par des détenus pendant la journée pour permettre aux banksters de faire des écononomies avec de mini salaires qui seront reversés à l’administration pénitentiaire. Risque de dérappage dites-vous… mais noooon ce n’est qu’un sentiment sans fondement.
Je reste sans voix devant l’ineptie de ce genre de truc ! Remplacer un personnel compétent par des malfrats là fallait oser… Mais les c..s ça osent tout n’est-ce pas ?!!!
À ce jour, Santé Publique France décompte 90.151 décès AVEC DIAGNOSTIC COVID-19 dans les hôpitaux. Le chiffre global est de l’ordre de 115.000 décès. Saura-t-on un jour combien de 25.000 décès en dehors des hôpitaux sont le résultat de soins (définitifs) au Rivotril, dès qu’un malheureux pensionnaire éternuait ou toussait ? Pour mémoire, pour 600.000 pensionnaires, le nombre de décès représente une mortalité de plus de 4%, soit 40 fois plus qu’en dehors des EHPAD (80.000/68.000.000).
Comme lors de la canicule de 2003, cette surmortalité a-t-elle permis de « réaliser des économies » pour la SS, et en particulier pour la branche « retraite » ?
Et pourquoi pas confier la clef du coffre-fort à un kleptomane ?
l’Agence Régionale de santé ne voit pas la différence entre une personne condamnée et une personne honnête, c’est que sans doute il n’y en n’a plus dans son esprit