Germinans Germinabit a publié sur son site un puzzle de photos d’églises de Catalogne arborant le drapeau étoilé indépendantiste. En 2012, le site Web avait publié cinq photos d’églises où flottait le drapeau sécessionniste. Ces images ont a fait le tour du monde et apparaissent sur des centaines de sites et de blogs comme un exemple de la politisation de l’Eglise catalane, qui, pour une grande partie, ne cache pas ses sympathies pour le processus actuel d’indépendance, option qui n’a rien à voir avec la religion et qui divise en deux moitiés les Catalans, chose qui ne semble pas inquiéter le clergé qui arbore ces drapeaux ou qui permet que ce soit fait en son nom.
En 2015, année que beaucoup considèrent comme la clé de ce processus, le Web a publié un nouveau montage photographique, et chacun peut voir que sont nombreuses les églises catalanes qui prennent part à cette bataille politique. Certes, il y a de nombreuses exceptions, de prêtres qui ont refusé d’accrocher le drapeau sur leurs clochers et qui ont subi toutes sortes d’humiliations et de menaces.
Germinans Germinabit constate aussi qu’un évêque, Mgr Romà Casanova, a personnellement pris parti, comme à Ripoll, empêchant que sur son église historique soit installée la bannière indépendantiste.
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Il faut souligner la responsabilité effarante des évêques de France dans l’état calamiteux dans lequel se trouve l’Eglise.
Dans les années 70 les deux chefs de l’Eglise de France était le couple dictatorial Marty Etchegaray. Ces 2 évêques n’avaient qu’un mot d’ordre : Vatican II , toujours Vatican II et encore Vatican II. Il fallait détruire la doctrine, la liturgie et la morale.
Vatican II était le super dogme, le 5ème évangile. Les évêques de France laissaient toutes les hérésies se propager, tous les sacrilèges se commettre. Les catholiques qui tentaient de s’opposer à cette gigantesque destruction de l’Eglise étaient traités « d’intégristes, schismatiques ayant rompu la communion de l’Eglise ». Aux Marty Etchegaray succédèrent dans les années 80 le couple Lustiger Decourtray qui ne valait pas plus cher.
Il ne faut pas s’étonner qu’avec de tels évêques la pourriture se soit propagée dans le clergé. Avec Vatican II les commandements de Dieu étaient remplacés par les droits de l’homme, la morale jetée aux ordures, la libération des moeurs au gout du jour.
Et maintenant on voit le résultat de la religion moderniste imposée par ces évêques diaboliques.
L’article de M l’Abbé Laguérie est excellent car il dénonce fort justement tous ces évêques soixante huitards, droits de l’hommistes fruits de Vatican II. Leur culpabilité est énorme.
Oui on peut s’inquiéter pour le salut éternel de tels évêques.
Merci M l’Abbé Laguérie pour cet article.
Je n’ai pas votre sévérité pour le cardinal Lustiger.
Lustiger était hérétique puisqu’il considérait que juifs et chrétiens avaient la même religion (alors que les juifs refusent la divinité de Jésus Christ).
Lustiger était un ennemi farouche de la Tradition : il manifesta son hostilité au moment de la visite du cardinal Gagnon en 1987 et fit tout pour faire échouer une éventuelle reconnaissance de la Fraternité St Pie X. Du reste il ne cachait pas sa haine contre les catholiques de St Nicolas du Chardonnet et protesta publiquement lorsque Mgr Ducaud-Bourget y fut enterré.
Après les Sacres d’évêques par Mgr Lefebvre de 1988 il alla voir le ministre de l’Intérieur pour faire bloquer illégalement les legs au profit de la Fraternité St Pier X. Lustiger était donc un voleur et un malhonnête.
Lustiger était le grand ami des socialistes.
Enfin vers 2005 il alla à Rome pour s’opposer à une éventuelle libération de la célébration de la messe traditionnelle envisagée par Benoit XVI.
Voilà le vrai visage de Lustiger (que certains appelaient Lucifer).
Cela n’a rien à voir avec la pédérastie de certains clercs qui est le thème de l’article.
Le chiffre de « 216000 » est du reste complètement fantaisiste, sans aucune méthodologie sérieuse. Les sources judiciaires témoignent d’environ 10000 victimes. Ce qui est toujours trop, mais n’a pas le même rapport. Par ailleurs, on ne sait pas ce qu’ils regroupent sous le terme « atteinte pédophile ». Essentiellement homosexuelles – depuis Vatican II et son relativisme, les séminaires ont ouvert leurs portes à des hommes qui n’y seraient jamais entrés avant – et souvent plus de l’ordre de l’éphébophilie.
On peut se demander quels sont les chiffres pour les mêmes faits dans l' »éducation » (sic) « nationale » (resic), la « justice » des mineurs…
Qu’est ce que vous en savez .
L’étude de sources documentées, prouvées, référencées et l’expérience personnelle des choses.
Vous avez des exemples ?
La grosse majorité des affaires identifiées et sur lesquelles on peut mettre des noms – et il n’y en as pas tant que ça – sont des affaires qui concernent des victimes masculines. Il faudrait reconnaître les faits.
La franchise du vocabulaire, loin de l’onction pontificale, redonne du nerf à la pensée chrétienne.Fenelon avait raison: »ce qui se conçoit bien s’énonce aisément… »L’abbé Laguéri insiste avec raison sur la valeur des mots quand il corrige le mot usuel de pedophilie insistant sur le terme approprié qui seul convient, celui de « pédérastie » pour nommer le crime sexuel de l’adulte envers l’enfant.Meri au père Laguérie de rester fidèle à Dieu et à son engagement ecclésiastique.
216000 cas!! Mais 240 d’étudiés et 2/800 par lettres…!! WTK??
Et la meute qui se déchaine ? Elle témoigne une fois de plus de sa bêtise et sa malhonnêteté
D’environ 3000 cas (avérés ou suspectés) scandaleux sur une période de 70 ans on arrive à 300.000 cas « extrapolés » ce qui signifie que 90% des cas sont extrapolés, qu’est ce que cela veut dire « extrapolés » ?????? Est-ce la nouvelle version anticléricale du pifomètre ?
Il s’agit de crimes qui relèvent du droit pénal, on ne condamne pas sur des suppositions, en revanche il est normal de considérer coupables les personnes qui savaient et qui n’ont rien dit.
Il serait intéressant d’avoir des tranches de dates plus fines (5 ans) notamment entre 1965 et 1980.
Il serait aussi utile d’avoir des précisions sur les lieux (sans désignation des personnes, pas de voyeurisme), le nombre de prêtres concernés car je suppose que les prédateurs ont été souvent multirécidivistes et 3.000 cas ne signifient probablement pas 3.000 prêtres, ceci pour ne pas laisser traîner une suspicion sur le reste des prêtres qui bien que totalement innocents s’obligent à porter une culpabilité qui n’est pas la leur, actuellement ils ont besoin de notre soutien.
Hors de question de verser le denier pour financer d’éventuelles indemnités (toujours le principe de la générosité avec l’argent des autres), il faudra aider nos prêtres hors du denier si une telle mesure était prise par les évêques .
Notons que le cas de Preynat que l’on peut citer car totalement médiatisé, a eu lieu avec Mgr Decourtray qui était très fort pour battre la couple de ses prédécesseurs (sans réel motif) sans penser à s’interroger sur son propre culpabilité !
Il aurait fallu confier cette commission à un vrai historien comme Henri Roques qui aurait revu tous ces chiffres à la baisse