«Je viens témoigner ici de mon attachement à la communauté juive et de mon amitié. J’ai toujours marqué des positions claires.»
Emmanuel Macron
«Au moment où les valeurs de l’égalité et de la fraternité sont mises en cause par la résurgence du racisme, de la xénophobie, de l’antisémitisme et que les marchands de peurs ont davantage voix au chapitre, je viens défendre les sentiments de fraternité, de tolérance, de fraternité.»
Benoît Hamon
«Je viens tous les ans. C’est une manière de manifester mon respect pour la communauté française juive d’origine et de venir soutenir des hommes et des femmes qui sont en proie à ces actes de violences et de racismes qu’il faut combattre avec la plus grande force.»
François Fillon
«Ceux qui, en France, ont un problème avec les juifs et Israël ont presque toujours un problème avec la démocratie, l’État de droit et les libertés individuelles.»
Francis Kalifat, président du CRIF
«Je ne dis pas que tous les Français musulmans, tous les sympathisants du Front national et tous les sympathisants de l’extrême gauche sont antisémites. Je fais le constat que les antisémites sont surreprésentés dans ces trois groupes. Pour cette raison et parce que leurs programmes sont dangereux pour la France, le Crif appelle à faire barrage à l’extrême droite et à l’extrême-gauche aux prochaines élections.»
Francis Kalifat, président du CRIF
Voilà un petit florilège de citations recueillies par les médias lors du dîner du Crif du 22 février 2017.
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Très beau texte !
C’est vrai que l’article est intéressant. Cependant, il ne me semble pas que l’assistance qui permet la survie du petit enfant soit de l’ordre du soin, ce n’est pas comme nourrir tout simplement un bébé, ce n’est pas prévu par la nature. Alors, si encore c’était temporaire et que l’on présume le rétablissement, cela peut se concevoir, mais dans ce cas ça me paraît assez difficile : on ne fait que retarder une mort naturelle qui aurait due avoir lieu plus tôt.
En fait, je pense que là où il faut insister, c’est que même si on ne peut obliger un hôpital à continuer à prendre en charge indéfiniment l’enfant, à l’inverse, les médecins ne peuvent pas imposer leur propre décision aux parents. Si les médecins estiment qu’ils ne peuvent plus rien faire, alors rien n’empêche le père de décider d’emmener son enfant dans un autre hôpital.
Le plus contradictoire, c’est que les médecins refusent un transfert au risque d’un danger de mort de l’enfant, mais eux-mêmes reconnaissent qu’ils ne peuvent rien faire pour le soigner, le rétablir, et qu’ils sont prêt laisser la mort survenir. Même dans le cas hypothétique où l’Etat a raison, il ne pourra jamais prétendre, en droit naturel voulu par Dieu, disposer de l’enfant soumis à l’autorité paternel, sous prétexte que c’est pour le bien supérieur de l’enfant, au nom des droits individuels qui permettent, in fine, de retirer les enfants aux parents parce que ceux-ci ne les éduquent pas comme il faudrait (ils refusent par exemple de les laisser se faire corrompre par toute sorte d’idéologie mortifère).
Envoyé à complaints@gosh.nhs.uk le 01/07:
Please respect life. Please be human.
This is not your right to choose if a baby should live or not, let his parents decide!
Your decision will lead to an awful death culture, but for sure we don’t have anything else to expect coming from European Union, do we?
This is against God’s will.
I’ve prayed the rosary today for Charlie, his parents, and all the maltreated kids.
Once more. Please respect life. Please be human.
Every child deserves a chance to live.
From a catholic family father
Lasty let me add to Katie Gollop, from GOSH: it is really inhuman to say, as you did: « It is inhuman to permit that condition to continue ».