A une large majorité, la Commission des Affaires juridiques avait voté, mercredi 1er mars, pour la levée de l’immunité parlementaire de l’euro-député Marine Le Pen, à la demande de la justice française pour « diffusion d’images violentes ».
« L’enquête regarde certains tweets que Marine Le Pen avait postés en 2015 et qui contenaient des photos d’exécutions commises par des hommes de Daesh, dont celle de l’assassinat du reporter et journaliste américain James Wright Foley, mort à Raqqa en août 2014. »
écrivions-nous hier sur MPI.
Aujourd’hui cette sentence est confirmée par Bruxelles : la candidate à la présidentielle pourra être soumise à une enquête et une procédure.
« Montrer et nommer l’horreur de l’islamisme permet de le combattre »
a commenté auprès de Reuters le numéro deux du Front National, Florian Philippot.
Mais l’Union Européenne ne semble pas de cet avis : cacher la réalité du terrorisme islamique est sa ligne de conduite !
Francesca de Villasmundo
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