« Une diabolisation artificiellement entretenue, (…) que chercheraient à nous imposer nos adversaires« , dit-il. Marine a glissé sur le terrain des adversaires du Front national. Jean-Marie Le Pen regrette peut-être aujourd’hui d’avoir préféré soutenir sa fille pour lui succéder plutôt que Bruno Gollnish, manifestement plus compétent. Voilà un homme élégant, qui a l’intérêt de son parti et de la France et qui ne rentre pas dans le Vaudeville des épanchements; Jean-Marie Le Pen parle politique dans Rivarol, quand Marine s’épanche dans le Figaro… Ce n’est pas le même niveau d’intervention.
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