MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Au Brésil, cette photo fait le buzz sur les réseaux sociaux. On y voit un vieux moine capucin bénir un policier de Fortaleza.

La photo est prise à l’Institut Dr. José Frota, hôpital de référence dans la capitale de l’Etat où le policier Jailton Viana était en service.

Lorsque le policier aperçoit ce vieux moine, il lui demande de prier non seulement pour lui mais pour les autres policiers de l’Etat.

Sur sa page Facebook, le policier écrit : « Dans les couloirs de l’IJF, où j’étais en service, j’ai eu l’honneur de rencontrer un moine, le Frère Roberto, 96 ans. Je lui ai demandé de prier non seulement pour moi mais pour tous les gars de la police de l’Etat de Ceara », avant d’ajouter le hashtag #DeusNosProteja.

Rapidement, la photo atteint un record de partage sur les réseaux sociaux, capables en cet instant de faire la part belle à la Foi.

Le Frère Roberto, 96 ans et 72 ans de sacerdoce, est né le 10 septembre 1920, à Maracanaú et a reçu de ses parents le nom de Juari Magalhães de Sousa. Il est entré dans la vie religieuse en 1934, à l’âge de 14 ans. En 1942, il a prononcé ses vœux solennels. Comme capucin, il prend le nom de Frère Roberto Maria de Maracanaú.

 

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

4 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires
balaninu
balaninu
il y a 7 années

Amnésique ? je ne crois pas ! mais les merdias via nos gvts ont tout fait pour décérébrer la population française, qui n’ayant plus à travers l’école, les outils pour penser et réfléchir font des plus jeunes des ignorants et certains plus âgés, des oublieux, ce qui les arrangent fortement… la manipulation est plus facile ! lorsque je vois des personnes d’un certain âge accrochées à leur portable, (comme à une canne) et accros à cette fichue tv, il n’est pas étonnant que les plus jeunes n’aient plus de repères. Donc, il est plus facile de manipuler les 3/4 de la population…. et Macron est donc le « gendre » beurk idéal, quoique, le gendre n’étant plus de mode, on s’accommode aisément de ce qui se présente, même le plus pourri !

Actuellement, nous pourrons ressortir tous nos manuels d’histoire, géographie, français et mathématique, avec la preuve par neuf (savent-ils ce que c’est ? ) que ce n’est pas ce que l’on rabâche à longueur d’antenne, ils s’en contre fichent dans la mesure où ils ne comprennent même pas de quoi l’on parle…..

pamino
pamino
il y a 7 années
Répondre  balaninu

Ce que dit balaninu dans son second paragraphe est malheureusement on ne peut plus vrai. Mais déjà dans les années 80 j’ai été viré d’un lycée et collège catholique sous contrat dans l’Ain pour avoir inclus, en traitant le présent de « être » en anglais, les formes verbales de la deuxième personne au singulier, tout en expliquant qu’elles n’étaient plus usitées sauf dans la prière, mais qu’il fallait reconnaître le tutoiement, par exemple en lisant de la poésie encore du XIXe, pour ne pas parler de Shakespeare. Quelques élèves ont raconté ceci à leurs parents ; ils (ou probablement elles) sont venus le lendemain parler au directeur, qui m’a licencié sur-le-champ sans m’écouter, ce qui m’a fort embarrassé, car pour accommoder l’école j’avais renoncé à la plupart de mes heures de maître vacataire à Lyon III pour le semestre concerné. Je me suis plaint à l’inspection académique de l’Ain ; l’inspecteur m’a expliqué que ce procédé aurait bien été illégal dans le cas un lycée étatique, mais puisqu’il s’agissait d’une catholique, il ne pouvait malheureusement rien faire pour moi, et en conséquence j’ai été obligé de vendre mon piano pour continuer à exister. Je crois que cet esprit, à l’époque rare, est devenu courant, et que le mot d’ordre les autorités est devenu « quid est veritas ? » – mais plus dans le latin de Ponce Pilate, cela va sans dire.

pamino
pamino
il y a 7 années
Répondre  pamino

« dans le cas d’un lycée étatique », évidemment, pardon.

Etienne
Etienne
il y a 7 années

Les méthodes de la Propaganda-Abteilung en France (entre 40 et 44), ont été parfaitement assimilées et même améliorées par les médias français actuels.
Il ne reste plus que quelques réfractaires pour servir d’alibi « pluralisant ».

De plus, en Belgique par exemple, ce n’est pas mieux. Voire pire.

Horace
Horace
il y a 7 années

D’accord ! A croire que le reniement de ses propres paroles est une fonction particulière chez les hommes politiques. Comment resteraient-ils en place si longtemps, sont réélus à chaque occasion, sautent d’un ministère à l’autre sans compétence particulière. Quant à la Belgique @Etienne, les gouvernants .be ne peuvent gouverner « seuls ». IL s’agit toujours d’une coalition de personnes issues des divers horizons. Impossible d’avoir un gvt uniquement socialiste. C’est généralement un « melting-pot ».

luciferg
luciferg
il y a 7 années

Ce n’est pas la république qui est amnésique, mais ce sont ceux chargés, payés pour la servir, qui le sont. Faites-le leur remarquer, à ceux qui sont encore en vie, ou ceux, défendant les mêmes idées, vous verrez que l’amnésie, dans ce cas-là ,est plus qu’une porte de sortie, c’est un aveu.

Abonnez-vous à CARITAS !

Le numéro 2 de la revue Caritas est en vente sur MCP !

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette revue : la revue CARITAS !