La dernière clownerie (et, comme le disait Léon Prunelle à Gaston Lagaffe : « je garde le L pour rester poli ») des cinglés végans : boire du lait est suprémaciste et raciste.
PETA est une coterie sectaire, sacralisant les animaux (enfin, pas toujours, on ne les entend pas contre l’abattage rituel hallal et encore moins pour l’abattage rituel casher) et qui incarne la face la plus fanatique et délirante du lobby vegan. Dernière crétinerie en date relayée par le compte tweeter le 19 octobre : « le lait était la boisson de la « domination blanche » et était utilisé comme symbole par les suprémacistes blancs », « le lait de consommation est «la boisson idéale de choix pour tous les suprémacistes (même involontaires) » et « les symboles du (verre) de lait sont également utilisés par les « personnes d’extrême droite ». Propos amusant quand on sait que PETA a – jusqu’à nouvel ordre – pour membre le chanteur rock britannique Steven Patrick Morrissey, dont les opinions politiques lui valurent ce crachat dans le torchon d’extrême-gauche Vice : « Icône facho autrefois pop-star »
Un article de Voice of Europe du 22 octobre reproduit un article du PETA daté du 7 mars 2017, déclarant que
« leur objectif est de sensibiliser les gens aux conséquences du choix de boire du lait, en citant des exemples de la violence que l’industrie laitière utilise avec les animaux. Leurs efforts pour réduire la consommation de lait ont porté leurs fruits puisque le nombre de litres de lait vendus a été réduit de moins de la moitié par rapport à 2013. Il s’agissait peut-être de messages tels que les arguments finaux du billet de blog 2017: «Avant de verser un verre de la « substance blanche », s’il vous plaît rappelez-vous que ce n’est pas la « bonne substance ». «Si vous pensez que toute votre vie devrait être libre de tout contrôle violent, choisissez du soja, des amandes, du riz, du cajou ou du lait de coco la prochaine fois que vous irez faire des courses ou commander du café. Avec autant de types de laits délicieux sans cruauté sur le marché, la suprématie n’a jamais été aussi facile. Il semble que même nos choix d’aliments et de boissons nous trahissent dans la société politiquement chargée et divisée d’aujourd’hui. »
Rappelons qu’en Nouvelle-Zélande, en 2013, des écoterroristes avaient menacé d’empoisonner le lait pour bébé de la marque Fonterra (n°1 mondial en exportation de lait) qu’ils accusaient d’employer le poison 1080 contre la prolifération des chats sauvages et des opossums.
Hristo XIEP
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