“’Election Guard” de Microsoft est, aux dernières nouvelles, le cheval de Troie qui a permis d’infiltrer et de dévoyer les élections américaines.
Dans une vidéo récente,  Roger Stone avait lâché une bombe au sujet du “Dominion Voting Systems”, en affirmant détenir la preuve que Microsoft, sous la direction de l’eugéniste milliardaire Bill Gates, avait conçu le logiciel utilisé dans  la fraude électorale des présidentielles américaines.
Le vétéran politique, qui est aussi un des meneurs du mouvement “Stop the Steal” de défense de l’intégrité électorale aux Etats-Unis, avait affirmé que le logiciel “Election Guard” de Microsoft était capable de supprimer ou de modifier des votes et d’altérer ainsi les résultats du scrutin.
“Election Guard” était utilisé par Dominion, mais aussi par Hurt Intercivic, Clean Ballot, Elections Systems, BPro et Smartmatic, c’est à dire dans 100% des machines de vote américaines, avait déclaré Stone. 
L’avocat constitutionnaliste Lin Wood l’a confirmé au rallye pour la défense de l’intégrité électorale tenu en Géorgie hier soir, ajoutant que le programme de Bill Gates faisait partie de l’”ADN” de toutes les machines de vote utilisées durant les élections de 2020.
 
Au cours des dernières semaines, des compte-rendus de la fraude électorale survenue lors du comptage des votes des machines Dominion ont inondé les réseaux sociaux. Des centaines d’affidavits faits sous serment ont confirmé que les administrateurs avaient eu un accès détourné aux systèmes de comptage, ce qui leur avait permis de manipuler les votes à volonté. Par ailleurs, plus d’une centaine d’employés de Dominion avaient été surpris liquidant leurs comptes sur la plateforme professionnelle de LinkedIn.
 
Que Bill Gates ait été au coeur de la fraude de Dominion n’est pas vraiment une surprise quand on sait que son organisation “philanthropique” a payé des “étudiants”, en fait des membres du groupe terroriste BLM (Black Lives Matter) pour compter les bulletins de vote dans les principaux Etats clef. Les anciens employés de ces bureaux avaient été priés de rester chez eux, prétendument en raison du risque de contamination par le Covid.
 
        
 
Son rôle était loin d’être ponctuel puisqu’il avait débuté même en amont de la “plandémie”. Six mois avant son déclenchement, et alors que personne n’avait encore entendu parler du Covid, Bill Gates avait déjà négocié avec un membre démocrate du Congrès un contrat de 100 milliards de dollars pour des outils de traçage de la population.
 
Bill Gates a donc indéniablement un doigt trempé dans tous les pots de confiture : vaccins, eugénisme, cultures OGM et, dernièrement, financement des émeutiers du BLM et fraude électorale. 
Gates est à peu près aussi populaire que Soros, comme en témoigne cette courte vidéo diffusée par la chaîne de télévision CBS News le 11 juin dernier, où on le voit se faire copieusement entarter à trois reprises par un petit groupe d’assaillants.
 
Un tweet de Smartmatic, publiant une photo du PDG de la compagnie et de Bill Gates ensemble à la réunion de Global Citizen, est explicite au sujet de l’intérêt porté par le milliardaire aux questions électorales : “Notre PDG introduit Bill Gates aux efforts de Smartmatic pour améliorer les processus électoraux dans le monde”.
 
Ami également de Jeffrey Epstein, le pédocriminel retrouvé “suicidé” dans sa cellule, Bill Gates a collaboré à l’un de ses projets “scientifiques”, car Epstein se piquait de philanthropie dans le domaine scientifique. Ils avaient notamment en commun un penchant marqué pour l’eugénisme. Bill Gates souhaitait réduire la population mondiale, tandis que Jeffrey Epstein espérait ensemencer la race humaine avec son ADN (NYTimes, 31 juillet 2019) pour créer des bébés génétiquement supérieurs.
Gates avait poursuivi sa relation avec Epstein, même après l’emprisonnement de ce dernier en 2008, en lui faisant de multiples visites à son hôtel particulier de Manhattan, en voyageant seul avec lui à bord d’un de ses jets privés ou en le rencontrant une fois à Seattle. Cela ne l’avait pas empêché de nier vigoureusement avoir le moindre rapport avec lui, personnel ou professionnel. 
Le mensonge, finalement dévoilé dans le New York Times par James Stewart, journaliste et auteur d’un livre sur l’Etat profond, avait été relayé sur la chaîne très mainstream de MSNBC (min 0:00-2:25). 
 
 
Des employés de la Fondation Bill et Melinda Gates s’étaient prétendument déclarés horrifiés d’apprendre le projet commun de Gates avec Epstein. Pourtant, leur collaboration s’était poursuivie. Elle avait pour objet un Fonds “caritatif” de plusieurs milliards de dollars, institué par Bill Gates au profit de Jeffrey Einstein. 
Pour quelle raison, se demandait la journaliste avant de passer la parole à Stewart, vers la min 0:40 de la vidéo, Gates avait-il besoin d’instituer un fonds profitant à un prédateur avéré de jeunes adolescentes, dont le comportement était l’antithèse d’une des missions professées par la Fondation Gates, d’aider les jeunes filles des pays défavorisés?
 
Questions qui renvoient à un univers glauque, peuplé d’enfants martyrisés des pays en voie de développement. On connaît les soupçons pesant sur la Fondation Clinton, accusée par Guccifer 2.0 d’enlèvements d’orphelins dans des zones de conflit comme Haiti, sous prétexte de les conduire vers des orphelinats non existants. Dans le cas du culte NXIVM, pour lequel les filles d’Egard Bronfman (fondateur du Congrès juif mondial) avaient été mises en accusation,  c’étaient bien plus que de simples soupçons puisque l’affaire avait été portée devant la justice.
 
L’Etat profond est constitué d’une cabale mondialiste dont les membres sont reliés entre eux par la pédophilie et les pratiques occultes. L’équipe de juristes de Trump a annoncé des révélations fracassantes à ce sujet, qui émergeront prochainement lorsque la Cour Suprême sera saisie du cas de la fraude électorale dans les dernières élections de 2020: “Chaque mensonge sera révélé“, a promis l’avocat Lin Wood.

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