Pour le grand public mal informé, Walt Disney est encore synonyme de dessins animés destinés à toute la famille. Il est temps de mettre fin à ces illusions. Walt Disney a choisi depuis quelques décennies déjà de s’éloigner de l’Amérique traditionnelle pour se rapprocher du milieu homosexuel.
Dans les années 1980, Walt Disney était en perte de vitesse. Michael Eisner devient le nouveau patron, relance la machine et côtoie la communauté homosexuelle. Disney choisit alors de se diversifier, de racheter la chaîne ABC ainsi que le studio Miramax qui produit notamment les films « gore » de Quentin Tarantino.
Mais « Taram et le Chaudron magique » est un fiasco qui met en péril tout le département animation. C’est le tournant décisif. Le nouveau patron de ce département, Jeffrey Katzenberg, prend conseil auprès de son ami David Geffen, producteur notoirement homosexuel, qui propose de faire appel aux services de Howard Ashman, autre homosexuel notoire dont la carrière s’est faite dans la comédie musicale. Howard Ashman va, par petites touches, insignifiantes pour la plupart des spectateurs, introduire des éléments qui « prêchent la différence » et des personnages qui seront des clins d’œil au public adulte homosexuel. Selon Jeffrey Katzenberg, considéré comme « gay friendly », ces éléments destinés à la communauté homosexuelle ont été « mûrement réfléchis » avec l’approbation de Michael Eisner, grand patron de Disney.
Mais cette époque coïncide avec la propagation du virus du sida. Howard Ashman en meurt en mars 1991. Disney inclut dans sa politique de « non-discrimination salariale » l’orientation sexuelle des employés, ce qui permet aux salariés homosexuels des studios de faire bénéficier leur partenaire de leur assurance-maladie.
Depuis 1991, le parc Disneyworld accueille chaque premier samedi de juin les « Gays Days ». Les homosexuels y viennent nombreux pour faire des « rencontres » et le patron de Disney assume la chose malgré les critiques des associations familiales.
En 1995, le magazine Buzz publie un article dans lequel il est écrit que « 40 % des 63.000 employés de Disney pourraient être homos » ! Intox ou résultat d’un intense communautarisme dans le recrutement du personnel ?
En février 1997, l’actrice Ellen De Generes , héroïne d’une série diffusée par ABC qui appartient au groupe Disney, fait publiquement part de son homosexualité au cours du show télévisé d’Oprah Winfrey.
En 2009, Disney company rachète pour 2,8 milliards d’euros la société Marvel qui publie les comics, ces aventures de super-héros. En 2012, Marvel publie les aventures de super-héros homosexuels…
En novembre 2012, Thomas Schumacher, directeur de la production théâtrale de Disney, s’est marié à New York avec son « compagnon ». Et Georges Kalogridis, l’actuel directeur du parc Walt Disney World d’Orlando, a récemment fait savoir qu’il allait emménager avec son « compagnon » dans le quartier résidentiel du parc d’attractions.
Andreas Déjà, autre homosexuel déclaré, a supervisé le département animation papier du studio Disney jusqu’à sa fermeture.
On pourrait encore citer parmi les nombreux homosexuels en vue chez Disney Harvey Fierstein, embauché pour s’occuper des nouvelles productions familiales comme Newsies.
Et il se dit qu’il ne faudra plus attendre longtemps avant que Disney sorte un dessin animé dont le héros sera homosexuel. Le marché intéresserait à ce point le milieu homosexuel qu’il semble que ce soit la course à ce sujet entre Pixar, Universal Pictures et Disney…
Non, vraiment, Walt Disney n’est plus destiné à toute la famille…
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