Le ministre de la justice italienne, Andrea Orlando, s’est félicité de l’adoption de la loi Cirinnà en ces termes sans ambiguïtés :
« Bien sûr que je suis satisfait. (…) A qui attendait plus de cette loi je réponds que l’introduction de nouveaux droits donne un élan pour en introduire d’autres par la suite. Quand on ouvre un chemin des mécanismes qui s’alimentent et se renforcent entre eux se mettent en marche. Comme cela est advenu pour le mouvement féministe dans les années 70, chaque objectif gagné n’est pas un point d’arrivée mais le début pour une bataille successive. »
Ainsi avance les révolutions, pas à pas, en sachant abandonner un temps, faire des compromis, pour mieux vaincre ensuite, sans se détourner du but.
A méditer par tous ceux qui croient aux bonnes paroles et à la bonhomie de certains loups travestis en agneau.
Francesca de Villasmundo
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