Certains ne doutent de rien. Joe Biden tient à peine debout et semble ne pas toujours savoir où il est mais des gens se mobilisent (ou font semblant ?) pour qu’il fasse un second mandat à la Maison blanche. Ses chances d’y arriver sont extrêmement minces. Et c’est heureux. Car une récente interview du directeur de campagne de Joe Biden a révélé que le président en exercice et candidat à l’élection présidentielle de 2024 ferait de l’avortement une priorité.
Sénile mais diabolique
Moins d’un an avant l’élection présidentielle très attendue, Biden, notoirement pro-avortement, a exprimé sa détermination à poursuivre sa promotion du meurtre des enfants à naître, promettant d’annuler la décision historique Dobbs de 2022, qui a révoqué un soi-disant « droit constitutionnel ». à l’avortement.
Lors de l’émission Meet the Press de NBC du 7 janvier, Quentin Fulks, directeur adjoint de la campagne de Biden, a déclaré à l’animatrice Kristen Welker que l’avortement serait la « priorité absolue » du commandant en chef s’il revenait à la Maison Blanche pour le prochain mandat.
L’administration Biden est restée sans vergogne en faveur de l’assassinat des enfants à naître tout au long de son séjour à Washington. Un an après l’annulation capitale de l’arrêt Roe v. Wade, qui a renversé une décision antérieure garantissant aux femmes la « liberté » de tuer leurs enfants à naître, Biden a publié une déclaration dans laquelle il s’engage à élargir l’accès à la contraception dans tout le pays.
Sa vice-présidente a publiquement attaqué des dizaines de lois d’État entrées en vigueur pour protéger les enfants à naître. Elle a également refusé de critiquer les avortements brutaux et tardifs.
Biden a été soutenu par le géant américain de l’avortement Planned Parenthood et d’autres groupes pro-avortement.
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