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« Ben écoutez, on fera une fournée la prochaine fois» : ces propos «ne peuvent pas faire l’objet d’une condamnation».

Relaxe pour Jean-Marie Le Pen : nous attendrons certainement

encore beaucoup plus longtemps pour que les « charognards » de la

presse Mains Stream relate cette nouvelle victoire du Menhir

Dans une vidéo de 2014, Jean-Marie Le Pen – alors député européen – répondait à Marie d’Herbais qui l’interrogeait sur l’attitude de tous ceux qui avaient menacé de quitter la France si le FN arrivait en tête à des élections et qui ne l’ont pas fait. L’ex-président du FN s’en prenait à des artistes engagés contre le FN comme Guy Bedos, Madonna ou encore Yannick Noah.

Alors que son interlocutrice lui avançait le nom de Patrick Bruel, Jean-Marie Le Pen avait commenté dans un rire: « Ça ne m’étonne pas. Écoutez, on fera une fournée la prochaine fois. »

Ruée immédiate sur la bête immonde de la part de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra) et de de SOS Racisme hurlant devant des médias alléchés que ces propos avaient « une portée intrinsèquement antisémite et raciste ».

La cour d’appel de Paris a confirmé jeudi la relaxe prononcée en première instance à l’encontre de Jean-Marie Le Pen, renvoyant les professionnels de l’antiracisme à leurs premières études !

L’avocat de Jean-Marie Le Pen, absent à l’audience, Maître Frédéric Joachim, avait quant à lui dénoncé « la fadaise de la procédure », qualifiant au passage les parties civiles de « charognards » et de « vautours » à l’encontre « d’un homme de 94 ans ».

Ceci se passe en France en 2022, huit ans après les accusations et les cris de haines. Nous attendrons certainement encore beaucoup plus longtemps pour que  les « charognards » de la presse Mains Stream relate cette relaxe…

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