Belgique – Le Mouvement Nation (mouvement patriote de Belgique francophone) l’avait annoncé, suivi par la RTBF (télévision belge) et c’est maintenant un site d’extrême-gauche qui le confirme : les gauchistes liégeois ont reçu une correction le 22 décembre dernier après avoir essayé de s’en prendre à un local patriote.
Au-delà de l’anecdote et de la confirmation de l’efficacité du service d’ordre de Nation, cette confrontation doit être vue comme le point d’orgue d’une cohabitation « difficile » sur le front belge des gilets jaunes.
En effet, l’extrême gauche belge n’a pas du tout anticipé le phénomène des gilets jaunes et a surtout mal analysé la potentialité de celui-ci. Ce qui fait que non seulement, elle n’a pas pu encadrer au départ ce mouvement social mais qu’au contraire, elle a tout un temps été mise hors-jeu médiatiquement parlant. Alors que NATION a été particulièrement actif et visible tant sur les blocages que sur les manifestations.
Au grand dam des anarcho-marxistes qui, au lieu de jouer la carte du « front uni antisystème »1, pour reprendre la terminologie de Nation, se sont empressés de lancer des appels à chasser Nation de la lutte, tout en diffusant les visages des militants nationalistes…Appels qui ne furent jamais suivis d’effet.
Au contraire même, puisque le 15 décembre, Nation s’est offert le luxe d’encadrer à Bruxelles une action « gilet jaune » qui fut particulièrement médiatisée pendant que les gauchistes jouaient à cache-cache avec la police dans la plus totale indifférence médiatique…
C’est sans nul doute là qu’il faut chercher une des raisons de l’agressivité grandissante des gauchistes belges envers Nation.
Si la mobilisation belge des « gilets jaunes » survit aux fêtes de Nouvel An, nul doute que la question de l’influence politique sur ce phénomène risque de se poser avec plus d’acuité encore qu’en France.
1 Pourtant selon certaines sources, des éléments des deux camps s’étaient parlé fin novembre… mais visiblement sans grand succès.
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17 décembre 2021 à 9h29 am La secte néo-protestante qui a investi brutalement l’Église dès les premiers instants du Concile manifeste une hostilité constante et impitoyable vis-à-vis de tout ce qui s’apparente de près ou de loin à l’Église authentiquement catholique. Le confident de Paul VI, Jean Guitton, n’a-t-il pas déclaré à Michèle Reboul (Monde & Vie n°734 du 15 juillet 2004): “l’Église catholique est morte dès le premier jour du Concile, laissant la place à l’Église œcuménique”? Peut-être, mais ce n’est pas la religion que nous avons choisie le jour de notre Baptême et envers laquelle nous sommes engagés. Il y aurait, en quelque sorte, une “rupture de contrat” de la part des Autorités de l’Église…
En définitive, la radicalisation des adeptes de la “secte néo-protestante” clarifie considérablement la situation et les prive d’arguments plausibles; en ce sens, les maladresses incessantes du pape François nous permettent d’y voir plus clair… Nous savons désormais qu’il existe une incompatibilité formelle entre la nouvelle liturgie concoctée par le franc-maçon Bugnini et le rite ancestral suivi par tous les saints pendant des siècles.
19 décembre 2016 à 10h33 am Le problème auquel nous sommes confrontés en ce qui concerne l’œcuménisme, particulièrement avec les orthodoxes et les protestants, est la recherche de l’unité dans l’incompatibilité.
Or, la recherche de l’unité dans l’incompatibilité, c’est vouloir reconstruire la Tour de Babel, alors que l’unité dans la vérité incarne l’œcuménisme vraiment catholique, cette unité à laquelle l’Église sainte a toujours aspiré.
L’œcuménisme, tel qu’il est pratiqué, à quoi cela mène-t-il? réponse: au relativisme et par voie de conséquence, à l’apostasie…
Certes, on peut vivre en amitié avec quelqu’un sans toutefois partager les mêmes idées. Il n’y a rien de nouveau à cela.
En revanche, je voudrais bien savoir comment il est possible de concilier des idées différentes et même parfois opposées tout en restant honnête avec soi-même ainsi qu’avec Dieu? Sans certitudes ni rectitude, la religion n’a pas de sens, elle ne se situe plus dans l’économie du salut. Elle ne constitue, au mieux, qu’une simple communauté fraternelle de laquelle est évacuée toute perspective d’éternité, ce qui ne correspond pas nécessairement à ce à quoi aspirent les fidèles… Ne s’agit-il pas tout simplement d’un détournement spirituel?
En d’autres termes, il faut savoir ce que l’on veut et chercher à connaître Celui en qui et ce à quoi l’on croit, en acquérir l’intelligence du savoir, rechercher en toute chose la Vérité, car Jésus, notre Dieu et Souverain Seigneur, a dit: “Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. Nul ne vient au Père que par moi” (Jean 14,6). “Celui qui croit en moi a la vie éternelle” (Jean 6,47-48). “Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang demeure en moi et moi en lui” (Jean 6,56-57).
Toute autre considération n’est pas d’inspiration divine. Il convient de s’en souvenir, même au prix de renoncer à une “unité” qui ne peut être qu’un leurre sans rapport avec l’unité voulue par Dieu et que Lui seul nous accordera le jour qu’Il aura choisi dans sa sagesse infinie et insondable.
Telle est l’unité à laquelle je crois et que je souhaite.
Je crois aussi à l’exclusivité de la grâce que nous obtiendra la Très Sainte Vierge Marie Immaculée, si nous savons la lui demander.
“Dieu se rit des prières qu’on lui fait pour détourner les malheurs publics, quand on ne s’oppose pas à ce qui se fait pour les attirer. Que dis-je? quand on l’approuve et qu’on y souscrit, quoique ce soit avec répugnance” – Jacques Bénigne Bossuet (Œuvres complètes, vol. XIV, éd. L. Vivès (Paris), 1862-1875, p. 145).
Et bien c’est exact , et peu de chrétiens analysent cette triste situation , peu de prètres aussi , alors je ne vous dis pas la peine des chrétiens clervoyants , quelque fois depuis soixante ans .C’est très long je vous assure.