Effet Trump : les politiques green (ESG) et woke (DEI) imposées par Davos s’écroulent. Les principales banques américaines, se sont toutes retirées au cours du mois dernier d’une alliance ambitieuse de banques soutenue par les Nations Unies et s’engageant à atteindre zéro émission nette de carbone d’ici 2050.
Les politiques green et woke imposées par Davos s’écroulent
L’exode des grandes banques de l’alliance pour le financement du climat fait trembler les lobbies verts qui vivent de ce financement, les progressistes qui sont des nihilistes et les khmers verts qui sont des tyrans rouges en puissance. Les principales banques américaines, dont JPMorgan Chase, Morgan Stanley, Goldman Sachs, Wells Fargo, Citibank et Bank of America, se sont toutes retirées au cours du mois dernier de l’alliance de banques, la Net-Zero Banking Alliance (NZBA), soutenue par les Nations Unies et s’engageant à atteindre zéro émission nette de carbone d’ici 2050.
Les administrateurs et les consultants ont déclaré que la réaction conservatrice, qui s’est vue avec l’élection de Donald Trump, a fait tomber les politiques de diversité, d’équité et d’inclusion (ESG, les critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) au bas des listes de priorités des entreprises, une tendance qui, selon certains experts, pourrait s’accélérer avec l’arrivée de la nouvelle administration Trump.
De plus, les conservateurs ont fait campagne contre les entreprises qui mettent en œuvre les politiques DEI (Diversité, Équité et Inclusion) qui vont de pair avec les politiques ESG, les accusant de se livrer à des pratiques « woke ».
Sortie de la coalition climatique de plus grandes banques américaines
Ainsi, Goldman Sachs a annoncé sa sortie de la Net-Zero Banking Alliance (NZBA) le 6 décembre, suivie peu après par Wells Fargo, Citigroup, Bank of America, Morgan Stanley et en tout dernier JP Morgan le 7 janvier.
Le départ de certains des plus grands prêteurs mondiaux signifie que la NZBA, dont les membres visent à aligner leurs financements sur la lutte mondiale contre le ‘changement climatique’, ne compte désormais plus aucune des six grandes banques américaines.
L’exode a été motivé pour la plupart après que des politiciens républicains ont averti que l’adhésion au groupe, en particulier si cela entraînait une réduction du financement des sociétés de combustibles fossiles, pourrait violer les règles antitrust.
Les banques qui se sont retirées pourraient désormais réduire leurs engagements en faveur de politiques greens imposés par Davos.
BlackRock, l’enfant emblématique du mouvement d’investissement environnemental, social et de gouvernance, se retire également de la Coalition Climat et fait marche arrière sur l’ESG
Le Wall Street Journal confirme d’ailleurs que BlackRock se retire également de la Coalition Climat et fait marche arrière sur l’ESG. Le plus grand gestionnaire d’actifs au monde est la dernière entreprise de Wall Street à abandonner les groupes climatiques, un revirement remarquable pour une entreprise qui était autrefois l’enfant emblématique du mouvement d’investissement environnemental, social et de gouvernance.
Cette marche arrière vis-à-vis des folles politiques green et woke théorisées par le Forum Économique Mondial de Davos est un autre positif effet Trump aux États-Unis. Que n’est pas prête de suivre l’Union Européenne qui continue à imposer ses exclusives Zone à Faible Émissions et ses DPE aux nations européennes. Bruxelles reste décidément le meilleur élève de Davos, quoi qu’il en coûte humainement et économiquement.
Francesca de Villasmundo
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