Un nouveau scandale de harcèlement sexuel commence à susciter les passions outre-Atlantique, d’autant plus intéressant que cette fois, la libidineuse créature n’est pas du genre porc, mais plutôt du genre truie. Les faits se sont déroulés le 11 mars lors de l’émission American Idol sur la chaîne de télévision américaine ABC. La chanteuse de pop Katheryn Elizabeth Hudson, plus connue sous son nom de scène Katy Perry, a harcelé un jeune chrétien pratiquant de 19 ans, Benjamin Glaze, brave petit prolétaire originaire de l’état de l’Oklahoma où il travaille comme caissier, en l’embrassant de force sur la bouche. Katy Perry est célibataire depuis un an (mars 2017) suite à sa rupture avec l’acteur israélite de nationalité britannique Orlando Jonathan Bloom.

Lors de cette émission un peu similaire à The Voice, Katy Perry était membre du jury avec les chanteurs Lionel Brockman Richie Jr et Thomas Luther « Luke » Bryan. Avant que le jeune Benjamin Glaze ait commencé sa chanson, le jury lui demande, en référence au tube de Katy Perry sorti en 2008 « I kissed a girl », s’il a déjà embrassé une fille. Suite à sa réponse négative : « non, je n’ai jamais eu de petite amie », la chanteuse de 33 ans lui a ordonné de s’approcher de la table du jury – en des termes qui font plus penser à une Weinstein en jupon (« Viens ici tout de suite ! »). Après un mouvement de recul, le guitariste s’approcha finalement de la chanteuse aux cheveux courts et l’embrassa sur la joue, mais celle-ci l’embrassa de force sur la bouche, faisant tomber la victime. La victime précisa : « Est-ce que je l’aurais fait si elle m’avait dit, ‘Veux-tu m’embrasser ?’ Non, j’aurais dit non. J’ai été élevé dans une famille conservatrice et j’ai été immédiatement mal à l’aise. Je voulais que mon premier baiser soit spécial ». Ce n’est pas la première fois que ce genre de chose arrive, la chanteuse Madonna Louise Ciccone, plus connue sous son nom de scène qui est son premier prénom, avait fait de même lors d’un concert avec une adolescente de 17 ans…

Ce geste suscita l’indignation de nombreuses personnes des deux sexes. Lori Hendry déclara par exemple sur Tweeter : « Pourquoi lorsque Katy Perry embrasse un candidat qui n’avait rien demandé, ce n’est pas considéré comme du harcèlement sexuel ? Les gauchistes ont encore deux poids deux mesures ». Une autre femme, Anna Baglione, fit le même commentaire : « Ok, soyons réalistes une minute : Si Katy Perry était un homme et que le baiser soit donné à une femme, ce serait du harcèlement sexuel, n’est-ce pas ? Si nous voulons que les personnes écoutent et légitiment les allégations des femmes harcelées sexuellement, il faut mettre fin au deux poids deux mesures ».

Il est vrai qu’avoir été en 2015 l’artiste la mieux payée du monde avec 135 millions de $ engrangés peut faire croire qu’on a tous les droits. Ce qui prouve bien que le « harcèlement sexuel » n’est pas une notion gendrée mais une simple émanation d’un pouvoir, souvent financier. L’homme riche n’harcèle pas parce qu’il est homme, mais parce qu’il est riche. La femme riche harcèle aussi bien que lui. La harceleuse partage de fait un point commun avec les porcs hollywoodiens : elle est une fervente supportrice d’Hillary Diane Clinton.

Notons également que Katy Perry avait fait parler d’elle quelques heures plus tôt : le 9 mars, elle avait indirectement provoqué au tribunal la mort d’une religieuse, sœur Catherine Rose Holzman, 85 ans, dont Perry convoitait le couvent qu’elle avait proposée d’acheter 15 millions de $ et qui s’était heurté à un refus de vente des sœurs à cause du comportement dévoyé de cette fille de pasteur (qui dans un tweet du 21 janvier 2010 faisait dans un tweet vulgaire l’apologie de la virilité chevaline des afro-américains). Lors de l’audience l’opposant à la chanteuse, la religieuse succomba.

Cette affaire arrive en pleine explosion des affaires de pédophilie féminine aux Etats-Unis, où plusieurs enseignantes ont été impliquées dans des harcèlements contre des garçons, comme MPI l’avait relaté en son temps. Tout récemment encore, à Smyrna Beach en Floride, une enseignante, Stephanie Ferri Peterson, a été arrêtée le 28 février pour avoir abusé d’un élève de 4e.

Ces faits n’ayant été dénoncés ni par Chloé Leprince, ni par Caroline de Haas, ni par Nadia Daam, ni bien sur par Titiou Lecoq, on peut donc en conclure qu’elles les approuvent…

Hristo XIEP

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

8 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires

Abonnez-vous à CARITAS !

Le numéro 2 de la revue Caritas est enfin disponible en prévente sur MCP !

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette revue : la revue CARITAS !