« Aux morts de février
Les derniers coups de feu continuent de briller
Dans le jour indistinct où sont tombés les nôtres.
Sur onze ans de retard, serai-je donc des vôtres ?
Je pense à vous ce soir, ô morts de Février. »
Robert Brasillach, Poèmes de Fresnes
Un des derniers poèmes de Brasillach, écrit en prison, à Fresnes, quelques jours avant sa mort, le 6 février 1945.
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