La vigilance patriotique paie. Désormais, l’extrême gauche goûte à son tour les joies du « harcèlement démocratique » et bizarrement, ça la fait beaucoup moins rire…
C’est la mésaventure qui est arrivée à une bistrotière gauchiste de Lynn (Massachusetts), Kato Mele, qui dans l’histoire a perdu et sa fille, et sa maison et son commerce. Tout commence le 13 octobre, où comme chaque année, la police de la ville de Lynch organise le « Coffie with a Cop », un programme de rencontre policiers/citoyens autour d’un café, lancé en 2011 à Hawthrone (Californie). Deux cafés furent sélectionnés dans la ville, me Land of a Thousand Hill et donc le White Rose coffeehouse. La directrice du café, Sophie CK qui s’avère être la fille de Kato Mele, posta sur Facebook un message insultant les policiers, leur refusant le statut d’être humain et leur interdisant l’accès au café. Le tout, bien sûr, sans en référer à sa patronne, sa mère.
Il faut dire que la porte d’entrée du café ne laisse aucune ambiguïté sur les opinions politiques de la propriétaire, avec un autocollant en interdisant l’accès aux patriotes américains et aux communautaristes caucasiens.
Le message Facebook a été remarqué par Aidan Kearney, du média dissident américain, Turtleboy Sports le 14 octobre. Il le diffusa massivement sur la cybercommunauté patriote qui répercuta à son tour… Rapidement, le message arriva à Blue Lives Matter, une association de soutien à la police qui répercuta à son tour l’information.
La campagne fut foudroyante et calquée sur les méthodes des amis politiques de Kato et Sophie CK Mele. La notation de l’établissement sur Google Reviews fut torpillée par de nombreux « 1 étoile », exactement la même méthode pour faire licencier de son établissement le meilleur huîtrier de France qui avait le tort d’être patriote.
Devant l’ampleur des réaction, Mele fit des excuses publiques le 15 « à toutes les forces de police, et spécialement celle de Lynn, pour cet affront répréhensible, ces remarques désagréables, partiales et haineuses faite sur la page Facebook de la directrice du White Rose. La directrice du White Rose Coffee House a été renvoyée avec effet immédiat » et demanda aux policiers de venir le 16 pour « nous aider à faire amende honorable ». Mais le 16, et malgré l’acceptation de ses excuses par le chef de la police de Lynn Michael Mageary, personne ne se présenta au café et le 17, Kato Mele ferma son établissement, se trouvant totalement ruinée et devant vendre sa maison pour payer les créanciers. Elle avait placé toute son épargne-retraite dans son magasin ouvert depuis un an… Cependant, il lui reste toujours sa seconde profession chez Über.
Bien évidemment Mele et sa fille furent soutenu par le tout-puissant journal Boston Globe, par ailleurs haineusement cathophobe, notamment par un article délirant d’Yvonne Abraham. Elle est également soutenue par Jennifer Abel, collaboratrice de Playboy et du Guardian. Le tout évidemment dans la plus répugnante hypocrisie. En effet, quelques jours plus tôt, c’est l’extrême gauche – donc les amis politiques de Mele et sa fille – qui avaient lancé une grande campagne de boycott contre un industriel local, Dave Ratner, patron d’une entreprise d’aliments pour animaux, parce qu’il avait été pris en photo avec le Président des Etats-Unis. Mais pour Abraham, « ce n’est pas pareil ». Très grave d’être pris en photo avec le Chef d’Etat démocratiquement élu, mais moins grave d’appeler à la haine contre des fonctionnaires d’Etat qui – chaque année – perdent en moyenne 140 des leurs victimes du devoir. Une pensée particulière pour le policier Ronald Tarentino Jr, 42 ans, d’Auburn (Massachusetts), abattu le 22 mai 2016 lors d’un contrôle routier, laissant une veuve et trois orphelins ; et pour le policier Thomas L. Clardy, 44 ans, de la Police d’Etat du Massachusetts, écrasé par un chauffard le 16 mars 2016 à Charlton, laissant une veuve et six orphelins.
Dans le camp des « antiantifas », le sentiment du devoir accompli : « Waou ! Nous avons fait du bon boulot. Nous avons envoyé la NFL dans les cordes, Harvey Weinstein pourrait aller en prison, et bien plus encore, incluant cette petite victoire pour les valeurs traditionnelles. Et cette victoire a eu lieu dans l’état le plus gauchiste des Etats-Unis, le Massachusetts ! », se réjouit ainsi l’ancien universitaire connu sous le nom de plume « Paladin Justice ».
Si de tels faits se reproduisent, nul doute que les antifas cesseront rapidement ce genre de pratique. En mai 2017, la militante féministe Laci Green – 1,5 million d’abonnés à sa chaîne Youtube – avoue avoir compris la haine de son propre camp : « «J’ai ouvert ma chaîne pour parler de féminisme et de sexualité, mais c’est devenu de plus en plus difficile […]. On est arrivé à un point ou parler de féminisme, ou même juste parler, d’hommes et de femmes par exemple, déclenche l’indignation chez certaines personnes qui semblent déterminées à mal interpréter ce que vous dites quelles que soient vos précautions. Et je vois ces mêmes personnes lancer des campagnes pour que des gens soient virés de leur job ou rejetés de leur communauté. Ce n’est pas du féminisme, c’est du harcèlement». Elle avait été lynchée par ses propres amis pour avoir voulu dialoguer avec une femme de droite… Le 24 août 2017, les Social Justice Warrior (la police de la pensée gauchiste dont Sophie CK Mele était partie prenante), furent lâchés par la journaliste de gauche Kat Stoeffel (du New York Mag) suite au renvoi de James Damore de Google, cette dernière déclarant que leur attitude sectaire avait en représailles fait élire Trump.
Hristo XIEP
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