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Aurillac : des lycéens confrontés à des oeuvres pornographiques et blasphématoires

Le n’importe quoi intégral que l’on appelle « art contemporain » a encore frappé.

A Aurillac, des lycéens ont été confrontés à des oeuvres pornographiques et blasphématoires – qui singent notamment la crucifixion et la Cène, insérées au sein d’une exposition d’oeuvres sur le Chili. Aux parents d’élèves, il a été expliqué qu’il s’agissait d’une exposition de photographies du pays.

En ce moment, jusqu’au 18 février, divers artistes exposent des oeuvres sur le thème du Chili. Comme nous l’indique une mère de famille aurillacoise, « des élèves emmenés par leurs professeurs d’espagnol ou d’arts ont été confrontés à ces abominations à l’insu des parents qui pensaient qu’il ne s’agissait que de photos de type touristique… Les parents font confiance aux professeurs signent l’autorisation de sortie scolaire et se retrouve avec des jeunes choqués, scandalisés, horrifiés… Mais le mal est fait !« .

Selon nos informations, l’auteur de ces abominations est une certaine Zaida Gonzalez, dont la présentation en regard des « oeuvres » précise : « photographe et médecin vétérinaire, elle étudie la photographie publicitaire à partir de 1997. Elle n’exerce pourtant à aucun moment cette profession dans laquelle elle ne se retrouve pas […] elle se décide à développer une oeuvre personnelle […] entremêlant scènes oniriques et esthétique populaire […] Elle aborde sans complexe […] presque de façon militante, les thèmes sensibles de la société chilienne, l’avortement, la religion, les relations de couple standardisées par le mariage et le machisme inhérent, l’homosexualité« .

Un certain nombre de ses oeuvres sont des simulacres d’images de communion, détournées au profit de l’activisme LGBT.

Elle est exposée par la galerie Negpos à Nîmes qui présente en ce moment même une de ses oeuvres – là aussi blasphématoire – mais aussi LGBT, sataniste et clairement occultiste, le Jugement dernier : « il s’agit d’un projet photographique qui s’approprie les 22 arcanes majeurs du Tarot (puisant dans le Rider-Waite Smith Tarot, le Tarot de Marseille et le Tarot du chat de Marseille) en remplaçant les figures des cartes par des modèles non standardisés, tels que des travestis, des transgenres, des transsexuels, des migrants, des jeunes atteints du syndrome de Down, des personnes âgées et d’autres personnes qui correspondent au sens de la carte attribuée« .

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