Ici, Moscou, par Jacques Frantz
Vos chaînes de désinformations favorites n’ont pas manqué de s’en faire l’écho. Ce matin, à Moscou, un attentat terroriste a été perpétré contre le général Igor Kirillov commandant l’unité de protection contre les armes chimiques, biologiques et nucléaires.
Il était bien entendu important de faire taire l’un de ceux qui connaissait le mieux la question, car il possédait beaucoup d’informations sur les activités de recherche clandestines conduites en Ukraine par les États-Unis.
Alors les médias voyous ne manqueront pas de vous parler de  » gifle à Poutine  » ou encore de  » camouflet pour la Russie « . Qu’en est-il exactement ?
C’est hélas un banal attentat terroriste. Car même s’il touche un militaire, cet acte n’aura aucune incidence sur le déroulement de la guerre effroyable qui se déroule en Ukraine.
Certes, des représailles sont à attendre. Mais à n’en pas douter, elles seront militaires. L’opinion publique russe ne comprendrait pas que l’armée reste sans réagir. Mais je le redis, la réponse viendra du front.
Cet attentat nous éclaire sur les réalités du régime défendu par (entre autres), Biden et Macron.
Pour un attentat similaire contre le FeldKommandant Karl Hotz en 1940, 50 otages ont été fusillés sans jugement.
La Grande et Sainte Russie ne mange pas de ce pain-là .
Réponse il y aura c’est certain.
Mais elle sera sur le front et devant les tribunaux.
Jacques FRANTZ
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