Jugeant qu’il y a péril en la maison France, des dizaines d’officiers généraux de la deuxième section et plus de sept mille militaires en retraite, du cadre de réserve ou d’active ont lancé un appel aux instances gouvernementales.
D’autres officiers y réagissent par un second texte, bien plus rebelle, à lire ci-dessous.
Voici sans esprit de polémique l’opinion émise à titre personnel par un groupe de citoyens qui ont en commun d’avoir servi à une période active de leur vie comme officiers dans l’une des trois Armées. C’est à ce titre qu’ils partagent une inquiétude concernant le présent et l’avenir de la France qu’à terme plus ou moins rapproché ils lègueront à leur descendance.
Ce faisant aucun ne revendique pour autant la représentation de l’opinion des militaires d’active ni ne suggère un quelconque engagement de la part de ces derniers, eux qui sont dédiés à servir activement et souvent au péril de leur vie leur nation considérée comme un tout.
“L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent.”
(…..)
“Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il suffit souvent d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà. N’oubliez pas que, comme nous, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables.”
Ces militaires font un constat que l’on ne peut que partager dans sa généralité mais apparait plus discutable quand on en vient au choix plus précis des dits dangers.
Quant à la solution pour éradiquer le grand péril, il apparait n’être qu’un vœu pieux.
En effet quand on veut soigner un mal il convient de distinguer les symptômes et la racine du mal proprement dite et donc de distinguer le traitement de confort comme disent les médecins du traitement curatif. Ils sont complémentaires. Le premier sans le second est inopérant et, le plus souvent, le second n’est pas humainement supportable sans l’apport du premier.
C’est dans cette approche que réside notre désaccord car si nous partageons la définition de ces dangers ils nous apparaissent comme les simples symptômes d’un mal plus profond à la racine duquel il convient de s’attaquer si l’on veut que la France survive. N’est-il pas illusoire de demander à ceux qui instillent le poison de façon probablement consciente et sans doute en toute sincérité de bien vouloir changer de seringue pour nous instiller le contre-poison ?
Dans sa grande majorité la classe politique de notre pays servie par un système parlementaire plus que séculaire a été depuis des décennies dévoyée par la haute finance qui détient les cordons de la bourse et la maîtrise des grands médias et qui décide donc de qui sera ou non élu, servie en cela par toutes sortes de relais que sont parmi d’autres Bilderberg, Davos, le CRIF et les fratries.
Cette classe politique que Jean Pierre Chevènement alors lucide avait qualifiée de pareille-au-même, servie par une administration solide et déférente, n’est là que pour faire exécuter les dictats de ceux qui détiennent le pouvoir c’est à dire la haute finance, dictats relayés par l’organisation de la communauté européenne composée de plus de 25000 fonctionnaires qui n’ont été élus par personne mais sont investis de l’autorité que leur confèrent les traités.
Alors qu’il s’agisse d’immigration, de délitement de la nation et de la multiplication des zones de non-droit, de violence et de montée de la haine entre communautés, la classe politique aux manettes ne fait que suivre la feuille de route qui lui est dictée devant aboutir à la destruction de la nation très ancienne que nous sommes, obstacle symbolique au mondialisme montant qu’il convient de faire disparaître.
Ce qui met mortellement en péril la France, c’est tout simplement le libéralisme effréné qui est inscrit dans le marbre des traités dits européens se traduisant par la désindustrialisation du pays tout autant que par l’abaissement de notre langue, l’emploi du globish par les médias, la publicité envahissante et …le chef de l’Etat lui-même, c’est aussi la destruction de l’outil de l’énergie nucléaire et la politique d’auto-flagellation au plus haut niveau et en toute occasion, c’est encore le délitement de l’éducation nationale et de la politique de santé publique, c’est enfin la mise en résidence surveillée de 66 millions de Français avec port obligatoire de la muselière.
C’est tout cela que souligne notre servile alignement sur la doctrine politique et militaire anglo-saxonne que concrétisent notre appartenance à l’OTAN et notre souveraineté perdue.
Chers camarades militaires voilà ce que nous pensons être de notre devoir de vous répondre.
Votre appel parle à juste titre de gilets jaunes. Et si c’était la voie qui permette enfin d’attaquer le mal à la racine tout en appliquant les mesures que vous préconisez pour le traitement de confort dont notre nation ressent un très urgent besoin ?
Rappelons cette brève citation du alors Président Charles De Gaulle : « Les Français ont besoin d’un projet ». En aucun cas d’une guerre civile.
Sous signature de :
> Claude Gaucherand, contre-amiral (2S)
> Alain Corvez, colonel -Terre (er)
>Bernie Le Van Xieu, colonel-Terre (er)
> Jean-Marie Lauras, colonel (Air) (er),
> Jean Marie Six IGA (2S),
> Jacques Hogard, colonel-Terre (er),
> Michel Debray, vice-amiral (2S),
> Olivier Frot, commissaire colonel-Terre (er)
> Michel Lucas, colonel-Terre (er)
> Hubert de Gevigney, contre-amiral (2s)
> Philippe Bourcier de Carbon, capitaine de frégate (er)
> Vivian Gauvin, lieutenant-colonel (Air) (er)
> Jean Baptiste de Fontenilles, colonel Terre (er)
> Regis Chamagne, colonel (Air) (er)
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Pour laisser passer de telles informations à une heure de grande écoute c’est parce que la pensée unique a maintenant vraiment peur de la montée du Front National.
Imaginez un quart de seconde que Le Pen ait dit le dixième de ce qu’affirme M. Brunet, cela serait dénoncé immédiatement par le Crif, la Licra, le Mrap, BHL, etc. etc. comme la bête immonde qui éructe !
Brunet ignore peut être que dans la résistance il y avait des juifs et que les rodchilds était banquier d’Itler mr à peur de l’extrème droite et que dire des communistes criminelle dont les gauchos ont récupérer les voies
Vous n’avez pas honte de dire des conneries pareilles?
Heureusement qu’il existe d’autres chaînes avec d’autres baveux que vous!
Gérard Francillon
Gaulliste depuis juin 40
Pour rappel et cela est vérifiable, ce sont les parlementaires de GAUCHE et dans une moindre mesure ceux de la « droite » libérale qui après l’invasion allemande, ont majoritairement votés LES PLEINS POUVOIR au Maréchal Pétain.
Un peu de Vérité..
Maréchal Pétain qui tout comme le Général Degaulle à fait du mieux qu’il pouvait pour servir son pays.
N’est pas digne d’être Français celui qui oppose Degaulle à Pétain, ou juge Pétain au travers de ceux qui ont profités des faiblesses de son grand âge, car tout deux ont fait preuve d’un Patriotisme Sincère dans une situation de CHAOS.
Chaos dont les sociaux-démocrates qui étaient au pouvoir avant l’arrivé du Maréchal Pétain, furent pleinement responsables. (une fois encore !)
c’est prouvé quoi qu’en dise l’histoire « officielle »…
Adolfo Ramirez
Milicien depuis Avril 1943
Les résistants ukrainiens d’aujourd’hui sont donc un peu comme les premiers résistants français des années 40…
Brunet déforme la réalité.
1-Est ce des résistants,qui ayant compris leur erreurs de choix idéologique en 39-45, ont essayé de rectifier le tire en rentrant au FN?
2- Est des gens d extrême droites, antisémite et racialiste avant 39-45, qui s aperçoivent de leur erreur idéologique et rentre en résistance contre le fascisme, et apres guerre retombent dans leur travers ?
Pour moi, il est évident que nous avons a faire au 1.
Pour la journalope Brunet, goyim collabo sur la chaine ultra sioniste de Weiss, BFM storie( shoa), BFM Buisness (dette goyim), rmc (radio moins de catho), rmc découverte ( l histoire du monstre hitler et du gentils staline)… il est bien évident que si les goyims blancs prennent faite et cause pour le grand Israel et vont se faire tuer pour lui, il sera toléré de voter pour le FN.
Revisez votre Histoire!Les tous premiers résistants qui organisèrent une manif dès l’occupation furent des gens « d’extrême-droite » puisque « royalistes » de l’ Actiion Française… Le PC lui a un peu « flirté » avec le national « socialisme » jusqu’à l’invasion de l’URSS par les nazis,pour ensuite se « promouvoir parti de la résistance ».
Je ne classe pas les royalistes dans la case extreme droite…
vous êtes konigsberg de l’ex « blog konigsberg » ?
@konigsberg
Et bien si justement !
Que vous le vouliez ou non, Historiquement l’extrême droite ce sont les royalistes, et nul autre mouvance politique fusse t’elle souverainiste et nationaliste.
Par définition sont d’extrême droite ceux qui souhaitent la restauration du Trône et de l’Autel, autrement dit, en lieu et place de la république parlementaire et de la prétendue « souveraineté » du peuple.
Sont d’extrême droite également ceux des Français qui ne rejettent pas dogmatiquement et fanatiquement l’autorité morale de l’Eglise sur le pouvoir temporel.
Strictement aucune mouvance politique se se disant « nationaliste », ne peut se revendiquer de l’extrême droite si elle n’est pas pour la restauration du trône et de l’autel.
Beaucoup de patriotes Français l’ignorent aujourd’hui, mais du temps ou les royalistes étaient encore activements présents dans l’arêne politique, ces derniers se situaient à l’extrême droite de l’hémicycle parlementaire.
Les choses se sont nuancées avec le temps, mais le royalisme est la source de la contestation, par définition, de la République.
C’est assez évident, le régime politique actuel est fondé sur la révolution de 1789. Il reste la tendance révolutionnaire et la tendance contrerévolutionnaire.
Les contrerévos sont pour l’autel et le Roi, contre la démocratie, avec les nuances et altérations du temps.
Le FN est un alliage des deux, qui s’édulcore avec le temps
l’antisémitisme à la Française, n’était pas « racialiste », mais était une forme de résistance envers un totalitarisme messianique d’essence talmudique, cherchant à réduire les non juifs en esclavage.
L’antisémitisme Français, et l’antisémitisme pan-germaniste n’ont strictement rien à voir l’un avec l’autre, car l’un cherchait à résister et l’autre cherchait à dominer.