Argentine – Du 11 au 13 octobre, un groupe féministe pro-avortement et favorable à l’idéologie du genre, déjà connu pour avoir attaqué des bâtiments publics et religieux, tenait à Salta sa « 29ème rencontre nationale des femmes». L’an dernier, dans la ville de San Juan, malgré le déploiement d’environ 600 officiers de police, ces viragos féministes, après avoir brûlé sur la voie publique une image du pape François, s’étaient rendues en cortège vers la cathédrale, à moitié dénudées, dans une ambiance hystérique, et avaient insulté puis agressé les jeunes garçons catholiques qui formaient une chaîne humaine autour de l’entrée de la cathédrale pour empêcher sa profanation.
Deux ans avant, lors d’une réunion dans la ville de Bariloche, près de 2500 féministes avaient envahi la cathédrale de la ville, et avaient insulté, battu, jeté de la peinture blanche sur les catholiques qui la défendait.
Durant la semaine, des graffitis et des affiches ont souillé la ville et les murs des lieux de culte chrétiens avec pour slogan « Iglesia Basura » («Eglise, poubelle ») et « Ni Dieu, ni patron, ni mari ». Ces féministes prétendent organiser une société indépendante, auto-organisée, auto-financeé, pluraliste, démocratique,…. C’est tout le contraire, elles ne vivent que grâce aux subventions du gouvernement, tandis que leurs dirigeantes s’étaient installées durant ce congrès dans les meilleurs hôtels, réservés depuis des mois.
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