Comme la presse dissidente l’avait prévu depuis longtemps, la bulle des scandales de pédophilie gay et de pédérastie à Hollywood est en train d’éclater. Comme dans les retombées dans l’affaire Weinstein, le petit peuple sûr de lui et dominateur y est encore une fois sur-représenté (selon les derniers pointages, les Israélites représentent 2 % de la population américaine et 57 % des agresseurs sexuels identifiés depuis le début du scandale Weinstein. Sur les campus, ce sont les Afro-américains – essentiellement des sportifs –  qui représentent la majorité des auteurs d’agression sexuelle pour une population de 12 %…).

Les révélations faites par l’ex jeune acteur prodige Corey Scott Feldman (Gremlins, les Goonies) sur l’existence de réseaux pédophiles à Hollywood, ce qui lui coûta sa carrière et provoqua également la mort en 1986 de son ami et coreligionnaire Corey Ian Haïm, violé par l’acteur Charlie Sheen (même milieu). Ses dépôts de plaintes dont la police de Santa Barbara niait l’existence, furent opportunément retrouvés… 24 ans après !!! Notons que si Feldman a eu l’oreille des médias, c’est qu’il a – dans son malheur – la chance de faire partie du même groupe ethno-religieux que ses agresseurs. Notons également qu’il blanchit Michaël Jackson des accusations de pédophilie et dit de lui qu’il fut le seul a lui rendre son innocence (ce qui confirme les analyses psychiatriques du chanteur lui attribuant un syndrome de Peter Pan (refus de devenir adulte)).

Les premiers noms de gays lurons viennent de tomber, ou plus exactement de ressortir des dossiers. Les premiers nominés dans les Oscars de l’ignominie sont donc :

–  Gary Goddard, membre de l’équipe dirigeante de Disney, vient d’être accusé par les acteurs Anthony Edwards, Bret Nighman, Mark Driscoll, Linus Huffman et trois autres hommes qu’il avait abusés quand ils étaient pré-ados et dans le milieu du cinéma. Il avait fait déjà partie d’un scandale sexuel révélé en 2014 avec deux autres grandes pointures du cinéma.

– Bryan Jay Singer, associé du précédent. Connu notamment pour avoir produit et dirigé le film sur l’opération Walkyrie et déclarant que son éducation juive ainsi que son homosexualité avaient influencées les films qu’il avait dirigé (et aussi un peu les idées d’extrême gauche de sa mère…). Membre de poids du lobby LGBT, une nouvelle plainte de viol contre lui a été déposée le 7 décembre 2017 par Cesar Sanchez-Guzman.

– Roland Emmerich, réalisateur juif allemand, spécialiste du film catastrophe à grand budget (2012, Independence Day, The Days after – celui avec les glaçons – White House down…) est le troisième membre du réseau. Il n’est pas surprenant de savoir qu’Emmerich est un militant LGBT actif et un financier d’Hillary Diane Clinton, sans parler bien sûr de sa cathophobie notoire. Cette affaire d’accusation fut étouffée avec diligence…

– Marc Collins-Rector, fondateur de Digital Entertainment Network et ouvertement dénoncé comme pédophile gay dans le documentaire An Open secret. Il faisait parti d’un réseau dont le nom de code était « Buffalo », spécialisé dans les abus sexuels sur les garçons. Et cette fois, il ne s’agissait pas de pédérastie mais de pédophilie gay.

– Chad Shackely, amant du précédant depuis l’âge de 16 ans, impliqué dans les mêmes affaires.

– Brock Pierce, camarade de jeu des deux précédents, petite carrière d’acteur (il jouait Gordon Bombay jeune dans les deux premiers Mighty Ducks), aujourd’hui reconverti dans les affaires et très impliqué dans le Bitcoin. Il fut l’un des proches du couple Clinton.

– Martin « Marty » Weiss (à ne pas confondre avec l’acteur ou le général SS homonyme), manager d’enfants acteurs, faisait partie du réseau dénoncé par Corey Feldman. Même profil que Singer… Déjà arrêté pour faits similaires en 2011.

– Bob Villard, autre manager pour enfant, engagé politiquement à gauche et dont le nom a été cité dans le scandale étouffé du Pizzagate

La liste va s’arrêter là, la mienne fait 37 pages… Un contre-feu semble en train de se créer pour atténuer le côté très ethnocentré des abuseurs.  L’actrice Evan Rachel Wood a ainsi dénoncé avait été violée deux fois par « des hommes blancs très riches, puissants et narcissiques ». Mais plus d’un blanc baptisé au sécateur qu’un blanc baptisé à l’eau bénite… Notons également, pour évoquer la France, les propos d’Anaïs Maquiné-Denecker, ancienne rédactrice en chef de M6 : « On ne compte plus les affaires entre producteurs et animateurs gays qui abusent de leurs jeunes stagiaires ».

La révélation ou la résurgence de ces affaires à ce moment précis me laisse perplexe. Sans sombrer dans un complotisme puéril, il est quand même étonnant que cela ressorte après l’élection de Donald John Trump. Les diverses affaires décapitent les réseaux d’Hillary Diane Clinton à Hollywood. Je suis prêt à parier des dollars contre des shekels que la contrepartie de l’application du vote sénatorial de 1995 de la reconnaissance de Jérusalem comme capitale israélienne par Donald John Trump a été monnayée auprès de Benyamin Netanyahou contre le feu vert pour se venger des tombaux de fumier déversés sur lui par toute la mafia hollywoodienne. Intéressant aussi de noter que tous les prédateurs balancés avaient le point commun d’avoir tous violés des enfants juifs… L’avenir nous dira si mon intuition a été la bonne.

Hristo XIEP

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