Le “ralliement”, c’est toujours le premier pas du reniement !
C’est par une simple annonce faite le dimanche 7 juillet à l’occasion du prêche dominical que, totalement soumises à “l’esprit du concile Vatican II”, les Supérieures des Dominicaines enseignantes de Pontcalec ont fait annoncé que dorénavant “la messe de communauté serait célébrée selon le Novus Ordo Missae“.
Il y a bien longtemps que l’on voyait poindre cette conclusion inéluctable qui guette tous ceux qui pensent que “Rome leur veut du bien“.
Rome – occupée par des conciliaires agressifs, aigris et revanchards – ne veut qu’une seule chose : la destruction de la sainte messe traditionnelle qui affirme avec force son caractère propitiatoire.
Ainsi donc, malgré les dénégations des uns et des autres, de tous ceux qui sont en “communion pleine et entière” avec Rome, malgré les incessantes et hérétiques palinodies du rusé François, malgré la timide “résistance” de quelques très rares évêques néo-conservateurs qui sont le dernier alibi des “ralliés”, ainsi donc, les Dominicaines de Pontcalec ont fini par “Trahir la volonté du père fondateur et de ses premières religieuses“ (1).
La guerre dure depuis bien longtemps et elle est terrible et harassante, mais ce n’est pas une raison pour vouloir une paix qui déshonorerait ceux qui la mènent.
Prions et veillons tous de peur de tomber à notre tour.
Christian LASSALE
(1) Extrait d’une lettre de détresse relayée par Justin Petitpeu sur le FC : Lettre aux mères prieure et sous-prieure de l’institut des Dominicaines du Saint-Esprit
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