L’ONU le rabâche depuis des décennies, tout autant que les immigrationnistes et les mondialistes, ces deux « ismes » collaborant de paire, avec les technocrates onusiens, pour décapiter la souveraineté des nations et dissoudre les peuples dans une vaste société multi-culturelle et ethnique de nomades sans racines, sans passé, sans avenir…
A Marrakech, la chancelière Merkel, n’a pas changé d’un iota son message immigrophile. Pourtant celui-ci ne passe plus outre-Rhin et entraîne le retrait bienvenu et annoncé de dame Angela du champ politique germain mais non pas international.
« La migration apporte la prospérité » a-t-elle clamé hier 10 décembre, au Maroc lors de la Conférence intergouvernementale pour
l’adoption du Pacte mondial sur les migrations, devant un parterre de béats diplomates bien-pensants, les délégués des États présents pour la signature de l’accord onusien.
Sponsor de ce pacte sur « le droit à migrer » qui encouragera et facilitera encore plus l’invasion de l’Occident par toute « la misère du monde » sous couvert d’une immigration légale, Angela Merkel s’est félicitée de « l’échéance historique » qu’il constitue :
« Les migrations quand elles sont légales sont aussi une chose positive. »
« Compte tenu de la structure démographique actuelle en Allemagne, notre pays a intérêt à accueillir des migrants, à condition que leur arrivée soit réglementée », a-t-elle ajouté.
Et pour conclure et afin d’essayer de museler les voix réticences, last but not the least, le monde a eu droit, par la voix de cet ange noir de l’Allemagne, à la petite piqûre de rappel sur les heures les plus sombres de l’histoire mondiale selon la doxa historique : « madame Merkel a tenu à souligner qu’elle représente un pays qui, en raison de l’idéologie nationale-socialiste qui a prévalu à un moment donné dans son histoire, a infligé d’indicibles souffrances au reste du monde » résume le service communication des Nations Unies.
Si les partisans de ce Pacte Mondial sur les migrations ont besoin de culpabiliser l’homme blanc et particulièrement germain et de pratiquer la reductio ad hitlerum pour le faire accepter auprès des peuples occidentaux, c’est qu’il est définitivement mauvais !
Francesca de Villasmundo
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