Le 19 février 2020, un homme de 43 ans, Tobias Rathjen, ouvrait le feu dans deux bars fréquentés par des Kurdes et des Turcs dans la ville de Hanau en Allemagne.
L’appartenance ethnique des 10 victimes avait déclenché sur le champ une vague de jugements sur le caractère raciste de l’attaque. Les journalistes mainstream surenchérissaient à qui mieux mieux sur une fantomatique menace d’extrême-droite devenue, enfin, une réalité en quelques coups de feu et diabolisaient le mouvement anti-immigration Afd.
Las ! Les conclusions des enquêteurs allemands, que bien entendu ces mêmes médias au collier s’abstiendront de communiquer à leurs lecteurs, excluent la piste du racisme pour privilégier le motif d’une paranoïa couplée à une croyance aux théories du complot.
🇩🇪 Attaque de #Hanau : les enquêteurs allemands ont conclu que le motif de l’assaillant n’était pas le racisme mais plutôt une paranoïa couplée à une croyance aux théories du complot. Le 19 février au soir, 10 personnes avaient été tuées par Tobias R. (BKA/WDR/SZ) #Terror pic.twitter.com/dKODTPv6ho
— Conflits (@Conflits_FR) March 31, 2020
Un bobard de plus à mettre au crédit de la grande presse aux ordres du politiquement correct.
Francesca de Villasmundo
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