Les statistiques du Ministère de l’Intérieur allemand en ce qui concerne la criminalité pour l’année 2016 montrent le vrai visage des prétendus « migrants » :
– En ce qui concerne les viols et les agressions sexuelles, par tranche de 100.000 habitants, 818 sont commis par des « réfugiés », 279 par des immigrés et 54 par des Allemands de souche.
– En ce qui concerne les blessures corporelles dangereuses et lourdes, toujours par tranche de 100.000 habitants, 1941 sont commises par des « réfugiés », 625 par des immigrés et 127 par des Allemands de souche.
– En matière de criminalité violente, les parts respectives (toujours par tranche de 100.000 habitants) sont de 2313 pour les « réfugiés », 768 pour les immigrés et 153 pour les Allemands de souche.
Selon le même organisme, il y a en Allemagne 1,1 million de colons (les « migrants »), 9 millions d’immigrés et 73,5 millions d’Allemands.
Pour les seuls mois de juin et juillet 2017, voici l’apport réel de ces « chances pour l’Allemagne » que Merkel fait entrer à tour de bras, ce que Helmut Kohl avait fortement critiqué, comme quoi on peut être dans le même parti, avoir les mêmes origines et avoir une opinion différente :
– 3 juin, à Arnscwang, un petit garçon russe de 5 ans a été poignardé à mort par un Afghan qui de plus a grièvement blessé sa mère. Ce dernier avait déjà été coupable d’un incendie criminel en 2009, ce qui ne l’a pas empêché en 2014 d’obtenir le statut de « réfugié ».
– 6 juin à Mülhausen, une procédure judiciaire est lancée contre trois « demandeurs d’asile » Erythréens coupables du viol collectif d’une Hongroise de 23 ans le 27 août 2016, la scène ayant été filmée avec un smartphone. Le même jour, un « réfugié » togolais poignarde à la tête un ouvrier sur un chantier.
– 13 juin, à Berlin, six « réfugiés » (5 Syriens et 1 Libyen) passent en jugement pour avoir tenté de brûler vif le jour de Noël un clochard dans le métro de Berlin.
– 16 juin, à Cottbus, un Tchétchène assassin de sa femme se voit bénéficier de la clémence du juge en tant que migrant.
– 21 juin, à Pforzheim, une femme a été grièvement blessée après avoir été agressée sexuellement par un « migrant ».
– 23 juin, à Lobau, 4 « migrants » syriens ont interpellés pour avoir filmé et harcelé des fillettes à la piscine.
– 27 juin, publication dans la presse russe d’un reportage sur l’implication massive des « migrants », essentiellement nord-africains, dans le trafic de drogue à Lübeck.
– 28 juin, à Jüteborg, un père de famille de 41 ans a été blessé par des jets de pierre en vouant empêcher le viol de sa fille de 18 ans par trois « demandeurs d’asile » en provenance de Syrie et d’Afghanistan. Ce en quoi il s’en tire mieux que les centaines de pères de familles allemands abattus en 1945 en voulant empêcher le viol de leurs filles par la soldatesque alliée. Le même jour, à Herzberg, le « réfugié syrien modèle » est neutralisé alors qu’il tentait d’égorger sa patronne.
– 7 juillet à Sarrebruck, un « réfugié » syrien poignarde à mort un employé de la Croix-Rouge.
– 5 juillet, à Marxzell, une jeune fille de 15 ans a été frappée à coups de bouteille de verre par un « migrant » somalien pour avoir refusé d’avoir des rapports sexuels avec lui.
– 13 juillet, à Berlin, condamnation à 5 ans de prison d’un « réfugié » gambien coupable d’avoir torturé sa belle-fille lors de rites tribaux coloré d’islamisme.
– 14 juillet, à Stuttgart, trois jeunes femmes ont été agressées sexuellement par un « réfugié » irakien lors de la Schorndorf Volksfest. Le lendemain, lors de la même manifestation, c’est une jeune fille de 17 ans qui a été agressée sexuellement par trois « migrants » originaires d’Afghanistan. D’autre faits de nature similaire (dont au moins un signalé) ont eu lieu au cours de ce week-end au cours duquel la police a été attaquée par une cinquantaine « migrants ». Rappelons qu’à Noël 1945, des centaines de gamines se rendant à la messe de minuit avaient été raflées par les troupes musulmanes françaises pour « l’amusement » de la soldatesque gaulchevique.
– 15 juillet, c’est le Holi Festival de Böblingen, également dans la région de Stuttgart, qu’un groupe d’une douzaine de « demandeurs d’asile » ont harcelé plusieurs adolescentes et également attaqué la police.
– 18 juillet, à Bad Nauheim, quatre gamines de 3, 12, 13 et 14 ans ont été victime d’harcèlement sexuel à la piscine de la part d’un « demandeur d’asile ».
– 19 juillet, à Marbach, deux jeunes filles de 15 et 19 ans ont été harcelées sexuellement par un « migrant » pakistanais.
– 20 juillet, à Hanovre, ouverture du procès d’un « demandeur d’asile » marocain qui avait violé et frappé une femme enceinte de 22 ans dans le quartier d’Ihme Zentrum à l’été 2016.
– 21 juillet, la commune de Bad Kreuznach interdit la fréquentation de certains lieux de la municipalité entre 22 h et 6 h du matin suite à des agressions sexuelles et à des violences perpétrées par des « migrants »
– 23 juillet, à Hambourg, un policier allemand a été obligé de faire des tirs de sommation pour faire cesser une rixe tribale opposant des « migrants » syriens à des « migrants » tchétchènes.
– 25 juillet, à Velbert, une femme de 68 ans a été violée et torturée par un colon.
Notons le silence total des lobbies pro-migrants, de la secte conciliaire ou des féministes. Aucune dénonciation de ces crimes. Qui ne dit mot consent.
Hristo XIEP
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