En conclusion de l’université d’été du Pays Réel tenue au Puy en Velay, Alain Escada a décrit les différents aspects de la tyrannie mondialiste sous prétexte sanitaire que l’on veut nous imposer. Great Reset, société sans contact et transhumanisme en sont les phases suivantes.
Le président de Civitas dresse aussi une liste de conseils et recommandations pour tous ceux qui veulent résister à cette tyrannie.
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Dommage que ce soit la liturgie de l’antipape Jean XXIII;
cette liturgie à été établie pour faire la passerelle vers le Novus Ordo.
Bonjour, pouvez vous étayer votre commentaire. Je ne vois aucune différence entre ce missel et le missel que m’a transmit ma grand mère datant début années 60.
Ils n’ont qu’à rééditer le missel de Dom Lefèbvre ou celui du chanoine Joly et foutre à la poubelle les « amen, je vous le dis », « comme nous pardonnons aussi » et autres incongruités massacrantes de la langue française…
Quand je pense que l’archevêque Le Gall a osé poursuivre en justice l’Homme Nouveau pour avoir repris des passages de « traductions » conciliaires! franchement, qui a l’intention de s’intéresser à leur charabia?
Pourquoi un missel? L’évangile est le livre à donner, l’homme veut toujours mettre sa main et ses idées tordues pour soumettre influencer, diriger. Le Christ est le salut, la liberté pour quiconque veut croire, nous sommes libre de croire, de penser ou de rejeter. C’est là, la différence entre la religion des hommes avec leur dogmes et leurs lois tordues face à la foi dans le salut en Jésus. L’homme cherche les honneurs, la première place, la reconnaissance, l’autorité etc. Jésus a cherché le simple, ce qui est humble, le pardon, la bonté, c’est ce que je veux pour ma vie, cela est mon choix!
Mais le missel est plein de « lecture du saint Évangile selon […] », vu que chaque messe a un Évangile et que le commencement de celui de saint Jean est lu comme conclusion de chaque messe (et, en ce qui concerne la messe basse, doit être lu à haute voix, sans que les auditeurs soient distraits par des bruits d’orgue, pour ne pas parler de chansons pieuses peu respectueuses du beau texte que le célébrant est en train de déclamer). Je me demande si vous connaissez suffisamment le missel.