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La presse allemande diffuse des bribes du rapport interne de la police fédérale allemande, daté du 4 janvier 2016, concernant les faits qui se sont déroulés la nuit du réveillon de Nouvel An. Il apparaît que l’ampleur du chaos a tétanisé les policiers qui redoutaient des morts.

Selon les extraits dévoilés notamment par le Spiegel, ce rapport ne semble prendre en compte que les évènements de Cologne et ne permet donc pas d’avoir une vue d’ensemble des faits similaires sur le territoire allemand.

Ce rapport interne établit que les policiers arrivés sur place ont immédiatement constaté que les femmes et les jeunes filles, accompagnées ou non, étaient assaillies de toutes parts par des hordes d’hommes alcoolisés d’origine immigrée qui n’étaient pas du tout freinés par la présence policière.

Tous les policiers envoyés sur place témoignent d’innombrables violences sexuelles commises par  des groupes de « migrants masculins ».

Les policiers étaient sous le choc de voir tant de femmes bouleversées, en larmes, parfois en sang, les vêtements déchirés, ayant subi les pires humiliations.

Ce rapport montre également l’incapacité de la police à faire face à tant d’agresseurs, ni même à secourir toutes les victimes, ce qui laisse une profonde frustration chez les policiers qui ont vécu cette situation.

Les immigrés, bien organisés, formaient de véritables barrages empêchant les policiers d’aller porter assistance à des femmes qui appelaient à l’aide.

C’était la «loi de la jungle », est-il écrit, et la police, débordée de toutes parts, admet une gestion « chaotique et honteuse » de la situation, tellement hors de contrôle que la police s’étonne de l’absence de morts.

En dehors des agressions sexuelles massives dont furent victimes tant de femmes, mais aussi des agressions violentes portées contre des hommes pour les voler, ce rapport dresse une liste d’incidents vécus par les policiers : 
- Un homme a nargué les policiers en criant : « Je suis Syrien, vous devez bien me traiter. Madame Merkel m’a invité ». 
- Des hommes ont déchiré leur permis de séjour sous les yeux des policiers en ricanant et en déclarant : « Vous pouvez rien contre moi, donnez m’en un nouveau demain. » 

L’auteur du rapport note que jamais, en 29 ans de service, il n’avait vécu un tel chaos ni une telle humiliation pour les forces de police.

Mais la bonne question n’est pas posée : quelle doit être l’ampleur du drame pour autoriser les forces de police à faire feu ?

Aux Pays-Bas, en décembre 2015, la police a tiré en l’air pour disperser une manifestation de citoyens hostiles à l’installation d’un centre d’accueil pour immigrés.

En Europe de l’Ouest, il semble donc plus facile pour les autorités politiques d’admettre l’usage dissuasif d’une arme à feu contre sa propre population que contre des immigrés violents.

 

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