Cette fois, les faits se sont passés en Belgique. Au moins trois jeunes femmes (dont deux adolescentes de moins de 16 ans) ont été victimes d’agressions sexuelles commises par des demandeurs d’asile dans un train de la SNCB reliant Bruxelles à Tournai le dimanche 10 janvier.
Les auteurs de ces agressions sexuelles sont trois demandeurs d’asile établis en France et encore tous mineurs. Le plus âgé n’a… que treize ans, les deux autres ont douze ans.
L’information a été confirmée hier par le substitut du procureur du Roi de Tournai, Frédéric Bariseau.
Le pire, c’est que les auteurs de ces agressions sexuelles ont déjà été relaxés après avoir été interpellés dans l’enceinte de la gare de Tournai grâce à l’alerte donnée en temps réel par l’une des victimes.
Comment expliquer cette relaxe ? selon la presse belge, « la substitute de garde, pour qui il n’y avait pas de quoi fouetter un chat, avait déjà pris la décision que le dossier ne ferait pas l’objet de suite et qu’il fallait donc les relâcher après leurs auditions ! »
Quand donc en finira-t-on avec ce laxisme judiciaire qui sévit dans toute l’Europe de l’Ouest ?
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