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Agressions sexuelles massives de Cologne : les témoignages terrifiants des victimes

«Je suis marquée pour la vie»
Âgée de 18 ans, Michelle décrit avoir été entourée par un groupe d’une trentaine d’immigrés violents qui l’ont agressée sexuellement, ainsi que ses amies, puis ont volé leurs portefeuilles et téléphones portables.

«Aux environs de 23 heures, nous étions près de la gare principale pour voir le feu d’artifice, lorsque l’on a remarqué tous ces hommes qui rôdaient. Nous avons réussi à entrer dans la cathédrale et voulions passer par le Musée Ludwig pour rejoindre la foule venue regarder le feu d’artifice, mais tout à coup nous avons été entourées par un groupe de 20 à 30 hommes.» 

Deux adolescentes, âgées de 16 et 17 ans, décrivent le sentiment d’avoir été des proies prises en «chasse». Elles ont été agrippées par derrière. «Nous étions complètement paniquées, des mains nous tripotaient un peu partout. Lorsqu’on parvenait à en repousser une, une autre main la remplaçait aussitôt. Ils nous saisissaient les seins, les fesses et l’entrejambe

Une jeune femme a déclaré à Euronews: «J’ai été caressée entre mes jambes. Mes amies ont également été caressées de force. Mon ami a essayé de me protéger. Nous étions entourés de trente ou quarante hommes. »

Une autre victime a déclaré à la télévision allemande comment elle a été «touchée entre les jambes» par une bande d’environ 40 hommes, tandis que son petit ami était frappé pendant ces moments atroces.

Jenny, elle, n’a pas été agressée sexuellement mais elle a subi des brûlures graves quand un feu d’artifice a été jeté dans le capuchon de sa veste.
«J’ai entendu un bruit de grésillement. J’ai essayé d’attraper le pétard mais il est tombé dans ma veste et m’a brûlée. »
«Les cicatrices seront permanentes. J’ai eu de la chance qu’il n’a pas explosé ».

La police allemande estime que la vague d’agressions sexuelles perpétrées par des groupes d’hommes »arabes ou d’Afrique du Nord» à Cologne et dans d’autres villes allemandes, notamment Hambourg et Stuttgart, doit être considérée comme une «nouvelle forme de criminalité».

Le maire de Cologne, Henriette Reker, reste dans le déni et appelle à ne pas faire d’amalgames…

Initialement, la police de Cologne avait diffusé un communiqué déclarant que tout s’était bien passé ! Le commissaire en chef a reconnu que c’était une faute et a présenté ses excuses. 

La télévision publique ZDF a également présenté ses excuses pour sa lenteur à couvrir ces agressions sexuelles massives.

Et Thomas de Maizière, ministre fédéral de l’Intérieur, a fustigé la police de la ville de Cologne pour ne pas être parvenue à mettre fin à ces agressions sexuelles massives.

Ralf Jaeger, ministre de l’Intérieur de l’Etat de Rhénanie du Nord-Westphalie (NRW) a refusé de donner plus de détails sur l’enquête, mais a dit qu’il attend un rapport très détaillé de cette semaine de la police.

Judith Wolter, élue municipale de la ville de Cologne, a écrit une lettre exhortant les gens à éviter le centre-ville après avoir déclaré que c’est devenu dangereux pour les femmes et devait être classé «zone de non-droit». !  Mme Wolter a également averti que le prochain carnaval devait être considéré comme tout aussi dangereux. 
 
Un porte-parole de la police de la ville voisine de Düsseldorf a affirmé que les officiers de police ont identifié plus de 2.000 suspects d’origine nord-africaine dans le cadre de délits organisés, dont des agressions sexuelles, depuis le début de l’année 2014.
 

 

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