Le sujet reste tabou dans les médias mainstream. Il n’est jamais non plus abordé par les politiciens demandant à l’opinion publique d’accueillir toujours plus de migrants. Pourtant, les rapports se multiplient à propos des viols et agressions sexuelles commis par les « demandeurs d’asile ». Des viols et agressions sexuelles dont les victimes sont autant les femmes et enfants présents dans les centres pour migrants que des femmes et enfants des localités qui accueillent ces immigrés.
L’initiative de la Norvège en dit long sur l’importance de ce fléau. La Norvège a en effet annoncé la mise en place de « cours d’éducation sexuelle » pour « corriger » les mœurs des immigrés accueillis.
« Non, un baiser ne conduit pas automatiquement à un rapport sexuel. Non, les femmes légèrement vêtues ne sont pas à la recherche d’une aventure. Non, les images du «sexe faible» véhiculées par la publicité n’ont rien à voir avec la réalité. »
La Norvège avait déjà lancé cette idée en 2011, après une série de viols commis par des demandeurs d’asile dans la ville de Stavanger.
Le Danemark a fait savoir qu’il envisageait également d' »éduquer » les immigrés qui arrivent sur son sol.
Dans les pays nordiques, une telle mesure est soutenue par la gauche comme par la droite.
En Suisse, l’UDC, premier parti de la confédération helvétique, considère qu’il serait surtout «préférable de limiter le nombre de migrants ».
En France, on préfère faire l’autruche et nier les problèmes…
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