Cela s’est passé à Toulon, il y a deux jours. Deux jeunes femmes en promenade avec leurs époux et leurs enfants âgés de 10 et 14
parce qu’elles portaient des shorts pour faire du roller et du vélo. Ce sont des « jeunes » d’une cité de Toulon, musulmans, qui leur sont tombés dessus avec des insultes, des coups de poings et des coups de pieds. Parce que leur habillement indispose ces gentilles consciences morales, maîtres chez nous ! Propos très vulgaires et indécents, ils demandent aux deux femmes de se mettre nue.
Les maris et amis qui ont essayé de s’interposer ont été aussi pris à partie et ont fini comme les mamans par-terre. A l’arrivée des pompiers, l’un d’eux est inconscient. Sorti aujourd’hui de l’hôpital, il souffre de plusieurs fractures au visage, les enfants sont choqués, et les autres victimes portent également différentes contusions et bleus.
Deux des jeunes ont été arrêtés. Rajoutons la rengaine connue : ils sont déjà connus des services de police.
De tels actes provocants, destinés à inciter une réaction chez les hommes présents, et par la suite une rixe, mélangent des insultes à caractère sexuel et des slogans islamistes. Loin de vouloir seulement imposer le burkini, symbole de l’occupation politico-religieuse musulmane de l’espace français, raison pour laquelle il faut l’interdire, les communautés mahométanes veulent également imposer leurs lois vestimentaires aux femmes françaises :
« A Toulon, il y a déjà la charia, a commenté Marion Maréchal-Le Pen. Porter des shorts peut vous envoyer à l’hôpital. »
Francesca de Villasmundo
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